1. Une mère diabolique ! (1)


    Datte: 04/07/2022, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... aguichantes, mais avec un ventre plat. Un bronzage de rêve... et surtout une poitrine bien rehaussée de deux pointures, au-dessus de son état précédent.
    
    Et surtout une confiance en elle et un sourire enjôleur, que mettaient en relief un rouge à lèvres carmin et des traits de crayon noir, autour des yeux. Elle avait un regard brillant, énigmatique et irrésistible.
    
    Tout cela était vraiment très étonnant, car ma mère était passée de petite bobonne insignifiante et un peu souillon, à une femme fatale, BCBG de grande classe !
    
    Elle était habillée avec classe, de façon sexy... on sentait tout de suite qu’elle avait développé son potentiel sexuel, et qu’elle savait pouvoir attraper dans ses rets pas mal d’hommes !
    
    Ma femme, qui attendait morose, prête à fondre sur elle à la moindre critique, en resta bouche bée lorsqu’elle la vit. Et quand ma mère lui fit la bise, en lui mettant une main sur la taille, elle ne put que fondre sous le charme de la quinquagénaire transformée en femme fatale.
    
    Durant le repas, elle nous expliqua qu’elle voulait entamer une nouvelle vie, et rattraper le temps perdu et gâché avec son mari, disant cela en fixant Cécile, et en lui envoyant un regard empreint de lubricité. Ma femme piqua un fard et baissa la tête, vaincue par le charisme de cette femme fatale qu’elle détestait depuis longtemps !
    
    Cécile était tellement sous le charme, qu’elle s’excusa pour les mots qu’elles avaient eus ensemble... la paix semblait devoir s’installer entre les ...
    ... deux protagonistes !
    
    Au salon, même atmosphère de délassement et de coexistence enfin pacifique entre les deux femmes... ma mère proposa à Cécile de la tutoyer et de l’appeler Josiane. Ma femme apprécia ce geste de réconciliation, et pour faire fêter cela, lui proposa un cordial. Josiane se prit un cognac bien tassé et servit elle-même ma femme qui refusa dans un premier temps. Elle détestait l’alcool et n’en buvait quasiment jamais.
    
    Mais devant la cordiale pression de sa belle-mère, elle accepta de trinquer avec ma mère. Et quand Josiane sortit son tabac pour se rouler une cigarette, et qu’elle s’excusa pour aller fumer dehors, Cécile lui dit qu’elle pouvait la fumer dans le salon, de même qu’elle aimerait bien tenter aussi l’expérience !
    
    Je n’en revenais pas, voir ma femme et ma mère fumer ensemble, me procura comme une onde de plaisir dans la colonne vertébrale.
    
    Josiane la lui roula, et se baissant vers ma femme avec un briquet, la lui alluma. Au passage, Cécile put avoir une vision dantesque des nouveaux seins de ma mère, qui menaçaient de faire craquer la robe blanche ! Cécile en resta toute chose. Ma mère, la regardant avec un sourire narquois, lui dit :
    
    — Et bien ma chère Cécile, c’est un peu "le calumet de la paix" que nous fumons ensemble, avant peut-être la pipe ", dit-elle avec un sourire lubrique, tout en caressant au passage le genou nu de ma femme en dessous de sa jupe de velours, et en me fixant droit dans les yeux !
    
    Cécile, ici encore, resta ...
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