Première double pénétration - Histoires de Sexe

Première double pénétration

... d’homme. Il me fallut déglutir une bonne dizaine de fois, car il n’avait pas menti, ses bourses étaient bien pleines. Vidé, mais pas moins excité, il me fit me relever et me claquant une fesse d’une manière appuyée me dit :

— Direction la chambre, petite chienne.

En chemin, il attrapa un paquet bien emballé posé sur la table, que je n’avais pas remarqué jusque-là.

— Mets-toi à quatre pattes sur le bord du lit que je m’occupe de toi, t’aimes faire ta chienne, Sabine ?
— Oui, j’aime que tu t’occupes de moi.
— Tu veux dire que tu aimes que je te baise ! N’aie pas peur des mots ! Dis-moi que tu es ma salope.
— Oui, je suis ta salope.
— Tu veux te faire baiser, salope ?
— Oui, je veux me faire baiser.
— Pas de sentiments, que du cul pour le cul !

Il passa sa main sur ma fente avant de reprendre possession de ma chatte de ses doigts.

Rapidement, il se mit à me fouiller sans vergogne, ne laissant aucun centimètre carré de ma chatte au repos. Je me mis à tortiller des fesses sous ses caresses et me remis à gémir bruyamment. Il passa un moment à me doigter ainsi, me faisant littéralement dégouliner de mouille. Saoulée de plaisir, je fus soudain tétanisée lorsque sa langue vint se poser sur mon clito. Il l’aspira, le pinça entre ses lèvres, engendrant de profonds coups d’électricité dans tout mon bas-ventre. Des « oh oui, continue, c’est bon, mon Dieu, salaud, non » se déversèrent naturellement de ma bouche

— T’aimes ça, cochonne ?
— Oui, continue, fouille-moi ...

... bien.
— Je suis certain que ton mari ne te baise pas comme ça ! Et tu n’as encore rien vu ! T’en veux encore ?
— Oui

C’est alors qu’un doigt vint jouer avec ma rondelle avant de l’envahir à son tour, m’arrachant un râle de surprise et de plaisir mélangés.

— Tends tes fesses que je te fasse le cul, tu es aussi venu pour ça, avoue ! Dis-le que tu y as pris goût !
— Oui, j’aime.
— Tiens, regarde, deux doigts rentrent tous seuls .

Effectivement, deux de ses doigts dilataient sans difficulté ma rondelle encore presque vierge, il y a peu de temps.

— Je crois que c’est le moment d’ouvrir ton cadeau

Il fit alors glisser le paquet devant moi que j’eus du mal à ouvrir dans ma position et sous les assauts des doigts fouillant sans ménagement ma chatte et mon cul maintenant. Je reconnus vite l’objet, un magnifique godemichet, moulé sur le sexe de mon amant tant les veinures et la courbure semblaient les mêmes.

— Comme cela, tu penseras à moi-même en mon absence, et cela fait une deuxième queue pour te prendre ! Penche-toi bien et écarte tes fesses, que je te la rentre.

La tête dans les draps, les mains écartant mes fesses, il prit le gode et l’introduisit non pas dans ma chatte comme je m’y attendais, mais entre mes fesses, me faisant me tortiller.

— Ne fais pas ta mijaurée, salope ! Tu as déjà eu la vraie, rentrée jusqu’aux couilles ! Et tu as aimé si je me rappelle bien ! Dis-le que tu la veux.
— Oui, mais elle est grosse, je la sens fort.
— J’espère bien ...