COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison III (22/30)
Datte: 20/08/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Que nous sommes bêtes, à vouloir jouer à qui aime plus l’une que l’autre avec un couteau effilé je me le suis planté sous le sein tachant ma robe de mariée et surtout obligeant Abby en bonne infirmière à me faire un point de suture.
Moi qui ai horreur des piqûres, pour resserrer les deux bords de la coupure elle est obligée de faire passer l’aiguille deux fois et sans anesthésie outre ma plaie que j’aurais à vie je hurle les deux fois à son passage.
Afin de me remettre de ces émotions je lui demande d’aller goûter au mets succulant qu’elle m’a préparé.
- Je suis allée rechercher une bouteille de champagne que j’ai mise au frais, assieds-toi je vais la chercher.
Gros problème pour moi car elle est restée comme moi nue.
J’ai envie de lui caresser les fesses quand elle passe à porter de ma main.
- Pas touche, de quel droit veux-tu me flatter le cul,
- Du droit que je suis ta petite maîtresse que tu as maltraitée avec ta grosse aiguille et ton fils très gros.
Elle est roublarde car elle évite de me répondre et en restant à porter de mes mains quand elle revient elle défait la protection pour défaire le fil de fer et faire sauter le bouchon.
Toute cette étape se fait sans aucun problème jusqu’au moment où elle essaye de faire sauter le bouchon.
Elle tire, elle essaye de tourner mais rien n’y fait.
Il est tellement serré dans son goulot qu’elle est impuissante à ouvrir cette bouteille.
J’éclate de rire à la voir se démener.
- Tu peux ...
... rigoler, je voudrais te voir si tu es meilleur que moi.
- Tu as du jus de chaussette dans tes biceps, donnes, je vais l’ouvrir.
Quand j’étais petite maman me disais de tourner ma langue sept fois dans ma bouche avant de dire une bêtise.
C’est le cas présentement car pas plus elle que moi n’arrive à faire sauter ce maudit bouchon.
- J’ai une idée, tu as un magnifique sabre accroché au mur on va la sabrer.
- Tu es de plus en plus folle, te faire une coupure sous le sein est insuffisant pour ce soir.
Veux-tu que nous finissions la nuit à l’hôpital auprès de mes collègues de nuit un bras tranché, mieux la tête décapitée car ce sabre est authentique et non une vulgaire réplique ?
Il coupe d’une façon incroyable.
- J’ai soif, j’essaye.
Je décroche le sabre le sort de son fourreau et comme je l’ai vu faire dans un film à la télé du temps où je la regardais car avec Bob, je me prépare à faire subir son sort à ce putain de bouchon.
Le sabre d’une main, la bouteille de l’autre.
Ploc, je tape sur le renflement comme je peux et ce bruit est celui du goulot qui a cassé net éjectant le liquide un peu partout sur la table.
La peur de ce que je viens de réussir, tenant la bouteille, je lâche le sabre qui tombe droit et vient se ficher à deux centimètres de mes orteils nus comme le reste de mon corps.
- C’est malin, tu as failli perdre tes doigts de pied, donne-moi ce sabre assez joué avec des objets coupants, Gai…
Une nouvelle fois comme quand elle a voulu ...