1. Les CRS (15)


    Datte: 03/07/2022, Catégories: Gay Auteur: Poiluhds, Source: Xstory

    Je me laisse aller à rêver, allongé contre Yann qui s’est endormi. J’entends du bruit dehors dans un demi-sommeil. Je prends mon temps pour revenir à la réalité et je me lève doucement pour ne pas réveiller le beau policier nu qui vient de me faire jouir. Je le regarde et ne peux m’empêcher d’imaginer d’autres ébats amoureux brulants avec lui. J’avais tiré les rideaux, mais laissé la porte-fenêtre ouverte pour laisser entrer un peu de fraicheur. La canicule dure depuis notre arrivée dans le camp.
    
    En sortant sur la terrasse, je vois une forme s’éloigner rapidement. Lorsque le garçon passe sous un des lampadaires qui éclairent les chemins du domaine, je reconnais Elliot. Est-ce lui qui s’est approché de la chambre où son père et moi étions en train de nous amuser...? Je m’assieds pour réfléchir et je vois briller dans la nuit une trace liquide sur la table en métal. J’ai une intuition en voyant sa forme étirée comme une balafre. C’est du sperme. En faisant plus attention, je vois que ce sont 4 généreuses giclées de jus de mec qui ont atterri sur la table. Je sens ma queue durcir en bas de mon ventre. Un mec était en train de se masturber en nous écoutant baiser, peut-être en ayant tiré le rideau pour voir ce qu’il se passait à l’intérieur. Et ce mec était probablement Elliot. Je me souviens de sa caresse sur ma queue sous la table et de l’étrange conversation que nous avons eue avant que son père nous rejoigne...
    
    Je ne sais plus quoi penser. Epuisé par mon éjaculation ...
    ... divine dans la chatte poilue du beau commissaire. Je retourne me coucher. Dans la nuit, Yann me réveille en me suçant toujours aussi divinement. Je m’abandonne et je jouis dans sa bouche. Il vient m’embrasser pour partager avec moi ma semence et nous nous endormons, corps enlacés et lèvres collées par mon sperme.
    
    Le lendemain matin, je me réveille tôt. Yann et moi nous caressons et nous léchons partout, comme pour garder un souvenir de nos corps et de nos odeurs alors que nous allons nous séparer.
    
    On frappe à la porte du bungalow. C’est Mathieu chargé d’un plateau qui croule sous tout ce qu’il faut pour un excellent petit-déjeuner.
    
    — Bonjour Commandant, le carré n’est pas encore prêt pour servir le petit-déj et je sais que vous vouliez partir tôt. Alors on vous a préparé ça.
    
    Il me tend le plateau avec des thermos de café, du jus de fruit, des croissants, du beurre et de la confiture, des abricots et des fraises.
    
    — Bonjour Mathieu, c’est super gentil. Vous avez vu grand !
    
    — J’ai prévu pour quatre...
    
    Je le regarde dans les yeux et je comprends qu’il sait pertinemment que Romain et moi n’avons pas passé la nuit seuls.
    
    — Euh... oui... c’est parfait. Vous vous joignez à nous ?
    
    — Euh... oui... je veux bien.
    
    Mathieu me suit sur la terrasse où s’est déjà installé Yann. Les deux hommes se connaissent.
    
    — Bonjour Commissaire;
    
    — Bonjour... vous êtes Mathieu c’est ça ?
    
    — Oui.
    
    — Vous faites des compétitions avec mon fils Elliot, je crois ?
    
    — Oui... ...
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