1. Un vieux pote de mon mec


    Datte: 20/08/2018, Catégories: Anal Hardcore, Masturbation Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... pendant un moment encore, puis nous avons pris un troisième verre. Je me détendais et Fred me regardait assez souvent, notamment au cours des moments où on ne se disait rien pendant plusieurs secondes. On ne se connaissait pas et c’était le pote de mon mec, pas le mien. Alors, forcément, il y avait des blancs dans la conversation. Mais la musique était là pour les combler.
    
    En sortant de la douche, je m’étais fait un chignon, mais au quatrième verre de blanc, je l’ai détaché. J’avais le cheveux mi-longs à cette époque. Ils ont poussé depuis. Ils sont châtain foncé et un peu ondulés.
    
    Juste avant 20h, Bruno m’a envoyé un autre SMS pour me prévenir qu’il était bloqué au boulot pour une durée indéterminée. J’ai informé Fred qui s’est contenté de répondre :
    
    « Mince… »
    
    J’ai reposé mon téléphone et je me suis levée pour changer de musique. Nous avions terminé la première bouteille de vin et entamé largement les plats remplis de tartines. J’étais un peu pompette et les yeux de Fred brillaient aussi. Il me suivait des yeux dès que je faisais un geste.
    
    Avant de me rasseoir dans le canapé, je me suis penchée en avant pour prendre une tartine, de sorte à ce qu’il se rende compte que je ne portais pas de soutif. Ensuite, nous nous sommes remis à papoter de tout et de rien. Nous avons ouvert la deuxième bouteille et j’ai répété le même geste : je me suis penchée en avant en sachant qu’il verrait mes seins.
    
    J’ai fait le service et me suis rassise.
    
    Fred ne me plaisait ...
    ... pas particulièrement, mais le physique m’a toujours peu importé. Pour ma part, j’ai toujours eu du succès auprès des hommes, de tous âges confondus. Je n’ai jamais eu d’efforts à faire pour attirer l’attention, mais je n’ai jamais été attirée par les beaux mecs.
    
    Fred ne me quittait pas des yeux depuis qu’il avait vu mes seins. Et ça me plaisait. J’avais fait des essais dans la glace de l’armoire de la chambre avant qu’il arrive et je savais exactement ce qu’il avait vu.
    
    De même, au moment de m’asseoir en tailleur dans le canapé, en face de lui, je savais ce qu’il allait voir. Mon short à fleur était léger et souple et je ne portais rien dessous. C’était au moment du septième verre, je crois. Ou peut-être du huitième, je ne sais plus. Ce que je sais, c’est que Fred a failli avaler son vin de travers à s’apercevant que je ne portais pas de culotte sous mon short. Il voyait ma chatte et je le regardais dans les yeux.
    
    A partir de ce moment-là, on ne s’est plus dit grand-chose pendant un moment. Nous étions un peu ivres et nous savions que Bruno était retenu à son boulot. Aux alentours de 21h, il me confirma d’ailleurs qu’il ne rentrerait pas avant 23h. Et tandis que je lui répondais, je savais que Fred matait ma chatte. Je ne m’épilais pas à cette époque. Ma toison était naturelle et, même quand je portais une culotte, les poils dépassaient toujours un peu. Mais là, je n’en portais pas et Fred voyait ma touffe. Elle n’était cependant pas très fournie. Ce n’était pas la ...