Elisa (1)
Datte: 02/07/2022,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: zooph34, Source: Xstory
... assez grand, de beaux yeux bleus, des pectoraux bien développés, il fait de la gym, des tablettes de chocolat, de belles fesses bien musclées, et surtout une très grosse bite sur un pubis lisse, je l’ai vu grandir et devenir homme, comme il m’a vue grandir et devenir femme.
Je suis moi aussi grande, blonde avec de grands cheveux allant bien en dessous de mes seins bonnet C, un ventre plat, de très belles fesses, un pubis bien rond et lisse comme tous les naturistes. Je ressemble à ma mère, aussi jolie, j’aime me regarder dans une glace, j’aime voir cette superbe jeune fille, et sans fausse modestie, je sais que je suis canon, comme ma mère, je suis un peu narcissique, mais j’assume.
Je me lève et vais me jeter dans la mer, j’ai repéré Virginie, une fille que je connais depuis quelques années, elle vient d’arriver. C’est une très jolie fille, à peine plus petite que moi, mais extrêmement bien foutue. Beaux seins ronds et fermes bonnet C, pas un gramme de graisse en trop, fesses d’enfer, pubis lisse et un sexe très discret, on ne voit que les grandes lèvres. On est tout le temps ensemble pendant les vacances. Je fonce vers elle.
— Salut Virginie.
— Ah, salut Elisa, putain mais tu es déjà super bronzée.
— Eh oui, je suis là depuis un mois, nous sommes venus avec maman début juillet, sans compter qu’on vient pratiquement tous les week-ends depuis le mois de mai.
Elle m’enlace pour que nous nous embrassions, elle me serre assez fort contre elle, mes seins ...
... s’écrasent sur ses seins, je ressens une drôle d’impression, un frisson me parcourt le corps. Elle l’a senti, car elle me serre un peu plus, en insistant sur les bises qu’elle me fait sur les joues. Elle me relâche et me regarde.
— Tu es magnifique ma petite Elisa, toujours aussi jolie et toujours avec ce putain de corps parfait, et surtout ce putain de cul d’enfer, j’ai souvent pensé à toi pendant cette année.
— Je dois dire que moi aussi, j’ai pensé à toi cette année.
Je ne lui ai pas dit de bêtises, c’est vrai qu’il m’est souvent arrivé de penser à elle, surtout à son magnifique corps quand je me regardais dans la glace, histoire de faire une comparaison, pas toujours à mon avantage. Mais comme elle habite à Amiens et moi à Toulouse, c’est un peu dur de se voir. Elle lâche son étreinte, mais laisse traîner sa main de mes épaules à mes fesses, je dois dire que ce geste ne me laisse pas indifférente, j’ai bien aimé sentir sa main se promener sur mon corps. Je n’ai aucune attirance pour les femmes, mais je suis quand même troublée, j’ai l’impression qu’elle s’en rend compte.
— Ça te dit un coca bien frais, je sais que tu adores.
— Bien sûr.
— Suis-moi.
Nous sortons de l’eau, je la suis vers l’appartement de ses parents à port Ambonne, il n’est pas à côté, elle y est seule, ses parents détestant être ici en août. Je vois ses magnifiques fesses danser devant mes yeux pendant un certain temps, elles m’hypnotisent. Je suis tout de même un peu troublée. Arrivées chez ...