1. Maria a dit


    Datte: 01/07/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    Le lendemain, je fus surpris d’entendre de la bouche de Manu comme quoi sa cousine voulait de nouveau nous entrainer jusqu’à l’étang, et ça malgré ce qui c’était passé la veille.
    
    Une fois sur place, la jeune femme nous proposa d’aller planter le parasol plus loin, à un endroit déserté par les baigneurs. Le sable y était moins beau, mais de nombreux buissons permettaient de prendre des bains de soleil à l’abri des regards. Elle nous expliqua avec un sourire équivoque, comme quoi nous serions mieux là, et encore plus pour elle pour lire. Très vite elle alla s’installer en plein soleil, à plat ventre sur sa serviette. Une fois là elle sortit son livre et l’ouvrit. Une tache de mouille se formait sous ses fesses, on aurait dit qu’elle avait pissé. Un cercle douloureux enserrait mon front et mes tempes. Là, l’œil brillant, Manu me murmura à l‘oreille qu‘il avait l‘intention de proposer à sa cousine de lui passer de l’huile solaire.
    
    -Tu crois qu’elle va accepter ? Répondis-je.
    
    -En verra bien !
    
    Et là prenant une voix ajustée à la situation, elle s‘adressa à sa cousine :
    
    - Cela te dirait que l’on te passe de l’huile.
    
    Elle hésita à répondre et prit le parti de rire avant de lâcher :
    
    - Laissez-moi tranquille voulez-vous !
    
    -Comme tu veux, mais tu n’iras pas de plaindre si tu prends un coup de soleil.
    
    - Non, je te dis ! Fit-elle.
    
    - Aller Maria. Dis que tu veux bien, insistais-je d’une voix d’enfant gâté.
    
    Maria abandonna sa lecture un instant, pour ...
    ... tourner son regard de notre côté, et après une hésitation, elle soupira :
    
    - Bon, je veux bien mais pas plus haut que sur les cuisses. Et n’en profiter pas pour aller au-delà.
    
    - Promis Maria. S’exclama Manu.
    
    Et elle se mit à nouveau à sa lecture, et cela alors qu’en lui enduisaient les mollets d’huile solaire. Quand nos mains remontèrent sur ses cuisses, elle referma le livre et posa la tête entre ses bras. Elle soupira d’aise et desserra les jambes comme pour mieux s’offrir à nos mains.
    
    - Que c’est bon ! S’exclama-t-elle. Vous avez les mains douces les morveux.
    
    Je profitais jusqu’à plus soif de la jambe offerte en pâture. Mes doigts s’attardaient sur la peau tendre sur les formes sensuelles. Je divaguais alors que mes mains malaxaient tout ce qu‘elles touchaient. Pour sa part, elle se laissait toucher l’intérieur des cuisses. Mais elle sursauta quand mes doigts frôlèrent l’empiècement du slip.
    
    - Tu as froid. M’inquiétais-je en remarquant sa peau, s’hérissée de chair de poule.
    
    -Pourquoi veux-tu que j’ai froid ? Bon les gars merci, fit-elle en se redressant sur les coudes pour regarder autour de nous.
    
    - Ne t’inquiète pas. Il n’y a personne. La rassura Manu.
    
    D’un geste décidé, il échancra le slip en nylon, dénudant ainsi les fesses. Elle eut bien un raidissement de tout le corps, avant d’esquisser le geste de se rajuster le plus vite qu‘elle le pu, maladroitement bien sûr.
    
    - Non pas ça ! Lâcha-t-elle. Vous m’aviez promis.
    
    Au lieu de s‘arrêter là, le ...
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