1. Je suis devenu Sabrina la putain (1)


    Datte: 29/06/2022, Catégories: Transexuels Auteur: Demoniak, Source: Xstory

    De retour du travail, je m’empresse de me déshabiller et de récupérer ma mini-valise soigneusement dissimulée au fond de l’armoire. Je l’ouvre et en y inspectant le contenu, je me demande, comme à chaque fois, comment j’ai pu en arriver là ?
    
    Une véritable collection de tenues et accessoires de pute.
    
    Je m’appelle Pierre, j’ai cinquante ans. Je suis très mince, à peine soixante kilos pour mes 1m75. Je n’ai jamais eu de ventre. Même en vieillissant, l’âge n’a jamais eu aucun effet sur mon apparence. Ventre plat, jambes fines, pas de double-menton, et, je dois bien l’avouer, aucune ride apparente. Tout le monde me donne dix ans de moins.
    
    De plus, et à ma grande satisfaction, mon travail de serveur me permet de rester relativement musclé pour un maigre (il faut dire que j’en fais des kilomètres, à courir de table en table, à porter des plateaux, des assiettes ; sans compter les livraisons, boissons ou autres, à transporter et ranger). Des pectoraux bien dessinés, sans exagération ; des jambes toniques ; un tout petit cul ferme et rond, semblable à celui d’une adolescente en pleine puberté.
    
    Bref, une séance de gym quotidienne, à forte intensité, qui s’avère très utile vu mon occupation extra-professionnelle.
    
    Vous l’aurez deviné, j’aime me travestir. Non parce que je veux ressembler à une femme, je n’ai pas cette prétention. Je veux ressembler à une salope. Je veux qu’en me voyant, mes partenaires ne se posent aucune question, qu’ils ne voient en moi rien d’autre ...
    ... qu’un objet soumis à leurs désirs sexuels.
    
    Mon problème est que je ne suis jamais passé à l’acte. Je me contente de prendre des photos et faire des vidéos que je poste sur des sites de rencontres. Je me détruis régulièrement le cul à l’aide de mon gode, et je dois dire, en retire une satisfaction extrême. Je le chevauche longuement et profondément, pendant des heures, devant mon miroir, regardant mon anus s’ouvrir au gré des va-et-vient, en m’imaginant me faire pilonner par toutes sortes de mâles en rut aux queues démesurées.
    
    Quittant ces pensées, je me saisis de ma tenue favorite: un haut en latex noir brillant, s’arrêtant au niveau du nombril, et dont les jarretières descendent sur mes hanches, pour y fixer une paire de bas du même matériau. Mes talons aiguilles à plateformes de quinze centimètres, également d’un noir brillant, viennent compléter l’ensemble, me donnant l’aspect d’une poupée de cire. J’enfile enfin des gants longs remontant jusqu’en haut du bras, et me voilà prête.
    
    Je me dirige vers le salon, j’allume mon ordinateur et me connecte. Sans surprise, je découvre une dizaine de messages. Je fais un premier tri (ceux qui habitent loin ou qui me parlent poliment sont effacés). Me restent trois messages intéressants: un bodybuilder noir, un retraité bedonnant, et un mari me proposant un trio avec sa femme soumise, une bimbo blonde.
    
    Tous trois ont joint des photos, et je me prends à passer ma langue sur les lèvres alors que je les parcours. Ce n’est pas ...
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