Valérie,parisienne et libertine (4)
Datte: 29/06/2022,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory
... j’empoignai le gode tandis qu’elle allait et venait en petits mouvements ; elle se donnait, je la voyais forcer son passage, ce fut long mais la cyprine s’écoulait sur mes doigts qui entourait ce gros appendice. Lentement je le sentis pénétrer, je passai des liens qui entourant le gode vinrent s’enrouler et se nouer autour de ses cuisses.
Justine haletait.
« Viens maintenant sur le lit en position de chienne offerte »
Je pouvais contempler sa chatte remplie alors que je fixais mon gode ceinture.
« Écarte tes fesses »
Le visage posé sur les draps, Justine ouvrit largement ses globes, je plongeai mes doigts dans sa bouche, elle les lécha longuement en y répandant sa salive ; elle avait bien deviné ce que j’allais faire.
Mon premier doigt la pénétra facilement, il me fallu du temps pour faire pénétrer le deuxième. Je « travaillais » son cul le temps nécessaire pour que je le sente enfin se dilater doucement sous mes caresses.
Le calibre qui envahissait sa chatte laissait peu de place sauf à le faire avec patience ; j’en avais !
Lorsque je la sentis prête, agenouillée derrière elle, je plaçais mon « membre » contre son petit trou, il pénétra à peine ; sous mes doux assauts je le ...
... vis s’ouvrir et enfin rentrer. Je poursuivis toujours avec douceur lorsqu’enfin je constatai que la moitié du gode avait été « englouti ».
« Tu es bien remplie ma chienne ! Tu aimes que tous tes orifices soient à moi ?
-Oooh Valérie, j’ai un peu mal mais c’est tellement bon !
Son bassin ondulait et commençait à se jeter au-devant de mes poussées. Elle attrapa le gode qui dilatait sa chatte, le faisait aller et venir par de petits mouvements.
-Viens, défonce-moi, viens au fonds de mon cul, ouiiii comme ça, encore, …
Elle partit alors dans un rythme échevelé, moi la pénétrant sans retenue, elle poussant le membre dans sa chatte pour entamer un long râle, marmonnant des mots incompréhensibles.
Elle finit par un long cri, presqu’un sanglot en répétant :
« Je jouis, je jouiiiis, je jouiiiis, …. »
Lorsque je sentis ses spasmes mourir, je retirai doucement les deux godes qui la pénétraient et la serrai dans mes bras. Son corps était humide de transpiration et moi j’étais heureuse de lui avoir donné tant de plaisir.
La soirée se termina tendrement. Il était suffisamment tôt pour nous laisser le temps d’une collation autour du champagne qui était encore très frais.
A suivre
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