1. Les Amants du Chalet (2)


    Datte: 28/06/2022, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: delira2, Source: Xstory

    ... tu crois ?
    
    — Je ne crois rien, continue, ma belle !
    
    J’ai réussi à continuer.....
    
    — Yohan, j’ai envie...... D’être en levrette..... A quatre pattes..... Le cul en chaleur..... Appelant... Ta queue....... Ton nSud...... Ta bite......
    
    Yohan essaie de m’immobiliser, mais c’était un jeu, il riait et je rajoutais :
    
    — Mais Yohan, ce n’est pas moi qui le dis, c’est un poète, j’te jure,....... J’ai envie..... J’ai envie......... Que tu me baises..... Si ! Si ! C’est le poète..... Que tu m’encules... C’est aussi le poète, quoique...... Jusqu’à la garde..... Que tu me défonces........
    
    Le canapé commençait à trembler et je tremblais pour lui. Je ne savais pas si je devais m’arrêter pour que Yohan arrête de s’exciter... Enfin si, je n’avais aucune envie d’arrêter d’exciter Yohan.
    
    — Mais continue, ma chérie, continue !
    
    — Oui, mais avec ta main entre mes cuisses... Ah oui, le poète disait... J’ai envie..... Que tu me suces... Que ta langue dans ma chatte... Caresse mon clito....... L’avale...... Mon pauvre Yohan, j’ai envie......
    
    Là, je n’ai pas pu lui réciter la suite, il s’est mis debout, il a tombé son peignoir, il m’a soulevée dans ses bras puissants, on a réussi à passer la porte de la chambre sans me fracasser le crâne, et il m’ a jetée sur le lit. Je n’en pouvais plus de rire.....
    
    — Que tu me laboures pendant des heures... Que je ne puisse plus ni m’asseoir ni me lever..... Ca, je ne suis plus sûre que ce soit le poète qui le dise, ça !... Yohan, j’ai ...
    ... envie que tu me baises, mais c’est quand tu veux... Surtout, ne te presse pas !
    
    Ca, c’était vraiment de la provoc ! Vous savez ce qu’il a fait ? :)
    
    Je vais vous le dire, moi, ce que je fais : je la regarde d’un air presque méchant avant de me jeter sur elle. J’écarte vivement les pans de son peignoir, dévoilant son corps magnifique puis d’une main, je la saisis à la gorge. Le geste paraît plus violent qu’il ne l’est en vrai. Amélie arrête de rire et le lance un regard de défi. Je lui demande :
    
    — Tu veux vraiment que je te montre que je la connais bien ta poésie ?
    
    Oui, vas-y... Montre-moi.
    
    — Tu ne perds rien pour attendre ! Tu vas voir que je connais ma leçon sur le bout des doigts, coquine !Mais tu as oublié une strophe dans ton poème.
    
    Elle me regarde avec étonnement avant de demander :
    
    — Ah bon ? Tu crois ?
    
    — Je suis sûr même ! Tu n’as pas parlé du moment où tu me prends en bouche, où tu me suces, où tes mains me touchent en même temps...
    
    — Oui, j’ai oublié, tu as raison, mais je peux réciter ce passage maintenant si tu veux.
    
    — Non, pas besoin ! Finie la poésie, maintenant on passe aux travaux pratiques !
    
    Elle sourit en comprenant où je veux en venir. Je me déplace sur le lit, à genoux, jusqu’à me retrouver proche de son visage. Je place un coussin sous sa tête pour qu’elle soit à l’aise. Je passe une main dans ses cheveux longs et mon autre main vient saisir son sein... ce que j’aime sa poitrine : opulente, douce et appétissante.
    
    — Vas-y, ...
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