1. Gouinage en famille (2)


    Datte: 28/06/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: sexag, Source: Xstory

    Ce soir, toutes les quatre femmes sont à table, il ne manque qu’Annie, la voisine qui est rentrée chez elle. Manon est assise en face de sa sœur Marie-Loup. Depuis sa première partie de gouinage avec sa mère et son idée d’entrer dans le club des gouines, elle ne regarde plus sa sœur de la même manière. Malgré ce que lui a dévoilé sa mère, Manon n’a jamais surpris Marie-Loup dans ses activités solitaires utilisant toutes sortes d’objets en l’absence de mâle.
    
    Pendant le repas, Manon est excitée à l’idée de dépuceler, lesbiennement parlant, sa sœur. Elle tente un rapprochement en lui caressant les jambes avec un pied sous la table. Au premier essai, Marie-loup retire ses jambes, pensant à un contact furtif, mais Manon revient à la charge sans équivoque et s’attire un regard étonné et réprobateur de sa sœur. Marie qui a observé le manège fait les gros yeux à Manon avec un signe négatif de la tête. Manon obéit et attend impatiemment la fin du repas pour reprendre sa conquête.
    
    Ce sont Marie et Jeanne qui desservent et se préparent pour la vaisselle. Marie-Loup est montée dans sa chambre sans passer au salon et s’installer devant la télé comme elle en a l’habitude. Manon, intriguée, va la rejoindre.
    
    — Tu fais la gueule Loup ? Tu ne regardes pas ton feuilleton ?
    
    — Non, je ne fais pas la gueule, mais je suis fatiguée, et je voudrais bien savoir ce qui t’a pris à table, tu avais l’air de vouloir me caresser les jambes. Je sais que maman et tante Jeanne font souvent l’amour ...
    ... ensemble, mais moi, c’est pas mon truc.
    
    Manon s’approche de sa sœur et amorce un geste vers sa poitrine.
    
    — Arrête ! ne me touche pas, d’abord je n’aime que les mecs ?
    
    — C’est parce que tu n’as jamais essayé, mais tu sais, l’amour entre femmes, c’est très courant, et ça serait mieux que de te branler avec n’importe quoi.
    
    — Qu’est-ce que tu racontes ? Tu dérailles ma pauvre sœur, tu dis n’importe quoi.
    
    — Non, c’est maman qui m’a dit t’avoir surprise plusieurs fois dans la grange en train de te masturber avec toutes sortes d’objets.
    
    Sur ces paroles, Manon se jette sur sa sœur et la bascule sur le lit.
    
    — Tu vas voir petite sainte-nitouche, je vais te faire jouir et tu en redemanderas.
    
    Curieusement, Marie-Loup se débat à peine et ne refuse pas la bouche de sa sœur sur la sienne qu’elle ouvre grand pour recevoir une langue agile et fouilleuse. En même temps, Manon a introduit une main dans la culotte de Marie-Loup et commence à lui caresser délicatement la chatte. Le jeu de langues partagé et les mouvements de bassin de Loup trahissent son désir de l’expérience qu’elle va vivre. Un doigt puis deux pénètrent dans une cavité déjà bien mouillée.
    
    — Oui, fouille mon con Manon, mais prends le gros gode dans ma table de nuit et ramone-moi. Déshabille-moi, j’adore me faire caresser. Toi aussi, montre-moi tes seins. Regarde, tes tétons pointent, tu bandes des seins, tu m’as l’air particulièrement excitée, je suis sûre que ta chatte est trempée.
    
    — Oui, je sens ...
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