1. Eveil au coït


    Datte: 19/08/2018, Catégories: h, fh, jeunes, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation init, Auteur: Mark-Antoine, Source: Revebebe

    ... embrumé.
    
    Le véritable déclic va se produire le soir-même, chez moi.
    
    Sur mon lit, en caleçon, je repense à la scène qui se déroule des centaines de fois dans mon esprit.
    
    J’imagine que Lise ne s’arrête pas là : sa main va plus loin, à la recherche du trésor interdit, et moi je reste là, les jambes étendues, la tête levée au ciel, les yeux fermés, savourant le contact de ses doigts sur les endroits les plus sensibles de mon corps…
    
    Le désir fait gonfler ma verge encore innocente de ces contacts externes. Je la frôle, la main sous le caleçon, en m’imaginant dans le même temps caresser le sexe de Lise. Ce sexe mystérieux que je n’ai jamais vu et que j’aimerais pourtant goûter. Goûter comme dans ces films que j’avais vus à de nombreuses reprises : la bouche masculine s’approche du sexe féminin, l’embrasse, puis le lèche lentement. Ces scènes m’émouvaient particulièrement, et je m’imaginais le faire à Lise, doucement mais avec gourmandise !
    
    Ces souvenirs de la journée mêlés à ceux de divers films me mirent dans un état de trouble profond. Je me levai pour fermer discrètement la porte de ma chambre à clé – mon frère avait l’habitude d’entrer sans frapper ! -, mis un peu de musique et quittai mon caleçon. J’avais effectivement bronzé de l’ensemble du corps, sauf du pubis, des fesses et du sexe. Mais l’excitation donnait à ma verge tendue une couleur de peau particulièrement foncée, dont un rouge pourpre pour le gland, déjà presque décalotté.
    
    Je m’allongeai sur le lit, ...
    ... enduis ma paume de salive et en recouvris mon gland, dur comme le roc. J’adorais me passer dessus la paume salivée, que j’appuyais assez fortement à l’endroit qu’on appelle le frein, juste sous le méat, ainsi que je l’avais un jour vu faire par un de mes copains. Là, j’alternais caresses énergiques et mouvements tendres, avec les doigts. Cette opération me tirait de bruyants soupirs du ventre. J’écartais les cuisses et oscillais du bassin de bas en haut, de bonheur et commençais à me branler énergiquement, effectuant de larges va-et-vient tout le long de la hampe.
    
    Généralement, après une bonne excitation, j’aimais me masturber en m’observant dans le grand miroir de l’armoire de ma chambre, juste à côté du lit. Je tournai la tête pour m’y voir : du torse aux jambes, je me regardais, comme un autre moi-même, tendu, excité et attentif. Mon regard descendit le long du ventre et je me vis, le sexe dans la main, un sexe que je trouvais plus gros que d’habitude, sûrement en raison de mon excitation du moment.
    
    Je m’assis sur le lit et, face au miroir, témoin silencieux, je me caressai la verge franchement, passant le pouce humidifié sur le gland, m’imaginant Lise, nue, s’asseoir sur mon pieu. Je lui donnais de grands coups de hanches, qui lui tiraient de terribles gémissements. J’avais très envie d’elle, plus que jamais, et je mimais, ainsi, assis sur le bord de mon lit, les mouvements de plaisir qui me menaient peu à peu à l’extase.
    
    Il me fallait bientôt coucher avec elle, ...