1. Ma tante, mon oncle et ... tous les autres (9)


    Datte: 27/06/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Kama666, Source: Xstory

    ... écartées, elle relève le bassin, je me plante en elle. Son vagin est de feu, une cyprine bouillante me reçoit. Je la baise brutalement. Elle me transmet sa soif de sexe, je la veux de partout.
    
    Je sors de sa chatte, à genoux assis sur les talons, je me rapproche de ses fesses, relève son bassin et le pose sur mes cuisses, elle m’accompagne et met les creux de ses genoux sur mes épaules, avec deux doigts, je mets un peu de salive sur son cul et la doigte. Son anus n’offre aucune résistance, mes doigts sont immédiatement remplacés par ma queue. Avec précaution en trois mouvements, je suis dans son fourreau. Je commence à la sodomiser lentement en me penchant vers elle, en la pliant en deux. Je veux aller plus loin.
    
    Je ressors de son cul, me redresse sur mes genoux, prends ses jambes, les lève haut de manière à poser son dos sur ma poitrine, ses jambes basculent en arrière vers ses épaules sur le lit, tout le dos s’appuie contre ma poitrine. Sa chatte et son cul sont au niveau de ma bouche. Je les couvre de baisers, je les lèche, je les inonde de salive, ses deux trous sont largement offerts et ouverts. Je la maintiens ainsi pour me mettre debout sur le lit et plonger ma bite dans son con, je la tiens par les hanches et je la baise en faisant des flexions de mes genoux. Elle ne cesse de gémir, les deux bras allongés sur le lit, ses mains sur mes pieds.
    
    A nouveau, je sors de son trou pour l’enjamber sur son entrejambe comme sur la croupe d’une jument. Elle m’aide en ...
    ... tenant de ses mains ses hanches vers le haut. Je prends ma queue raide comme une corne pour lui faire courber la tête et la pointer dans le cul que d’un coup je pénètre jusqu’aux couilles et là, commence une chevauchée sauvage. Tout mon corps saute comme sur la croupe d’une jument en furie. Mon membre se comporte comme un piston d’une machine à vapeur. Je la bourre à la verticale, je la pilonne, je m’élève et descends sans jamais la quitter totalement, je passe d’un trou à un autre, je la baise et l’encule. Notre relation devient animale.
    
    Ses gémissements sont maintenant cris :
    
    — Oui, vas-y encule-moi, défonce-moi, plus fort, cogne au fond, ouvre-moi en deux ! on ne m’a jamais prise ainsi ! encore ! encore !
    
    Je continue comme un marteau dans une forge, sa chatte est largement ouverte, béante, elle est luisante, elle m’appelle. J’y plonge deux doigts qui s’y perdent, le troisième et quatrième y trouvent leur place et Jade de reprendre :
    
    — Vas-y ! baise-moi bien.
    
    Les doigts ressortent, accueillent le pouce dans la paume et en pointe de lance plongent avec précaution dans le gouffre entre ses lèvres, avec un peu de résistance au moment du passage de la jointure des doigts, une simple pression et la main est dans le vagin.
    
    — Oh oui ! comme ça, explose-moi, casse-moi en deux, astique-moi bien avec ton poing pendant que tu me combles le cul !
    
    Ma main bouge, je pose mes doigts sur la paroi interne pour sentir le pilonnage du cul, puis referme le poing et je la fiste ...