Mère initiatrice (2) - Histoires de Sexe

Mère initiatrice (2)

Je pense que beaucoup se vantent d’avoir eu des expériences sexuelles extraordinaires, sortant de la banalité collective. Finalement, il s’avère que peu d’entre eux peuvent prétendre à cela. Je pense en faire partie. Comme je vous l’ai dit, au sein de ce premier chapitre, ma mère m’a masturbé. Loin d’être une fin, cette branlette était un commencement à une luxure encore plus dévorante. Vous remarquerez comment tout cela est arrivé.

Après cette masturbation, je dois vous avouer que je n’arrivais pas à m’en rendre compte, à croire ce qui s’était passé. C’était impensable. Inimaginable. Imaginez votre propre mère venant vous aider avec votre masturbation régulière. Il y a une part de vous qui se déchire à dire que ce n’est pas naturel et une autre qui vous chuchote que l’interdit est excitant, que votre mère est une petite salope tout à fait délectable. Et cette voix, elle faisait rage en moi. Elle ne me parlait pas tout bas, mais me criait que ma mère était une bonne petite assoiffée. Je ne la voyais plus dans son rôle maternel, mais plus comme une partenaire d’ébats. Je m’étais rendu compte qu’elle avait des seins plutôt volumineux. Je n’avais eu que des petites amies avec un bonnet B. Dès lors, tout naturellement, ses seins m’intriguaient. Beaucoup. Je les avais vus nus et rien que d’y penser à nouveau, de me remémorer leurs mamelons sombres me faisait bander.

Et que dire de cette forêt qui se cachait sous sa petite culotte ? Ma plus forte envie était de la baiser. De ...

... sentir mon sexe aller et venir dans son vagin. De la faire gémir et crier. Et c’est dans cet état que le reste de la journée se passa.

Mon père rentra au soir. Il partait souvent pour son travail. Très souvent. Dès lors, lorsqu’il était de retour, Maman était aux petits soins et on prenait généralement un apéritif – ce que je ne refusais jamais. Mon père optait souvent pour une bière ou un whisky-coca. Ma mère préférait le gin-tonic. J’aimais ce cocktail aussi. Ce qui était marrant avec mon père, c’est qu’il racontait toujours ses aventures du travail. Nous l’écoutions, sans vraiment comprendre, ni même vraiment s’y intéresser d’ailleurs. En tout cas, pour ma part. Je hochais souvent la tête. Ma mère arrivait, parfois, à lui poser une question ou l’autre. Ce soir-là, j’étais encore moins concentré qu’à l’habitude. Ma mère avait pris sa douche avant le repas et avait enfilé une robe de nuit assez décolletée. Mon père lui avait même pris un sein en main tout en l’embrassant, tandis que j’étais focalisé sur cette poitrine que j’avais eu le loisir de voir lors de l’épisode de ce matin.

Je savais que ce n’était pas anodin et qu’elle voulait que je la regarde. C’est que je fis. Le temps de l’apéritif. Le temps du repas. Puis, je remontai pour vaquer à mes occupations.

Ce soir-là, ils allèrent se coucher de bonne heure. Ma mère, dans le couloir, avait lâché un gémissement que j’entendis jusque dans ma chambre. Cela m’excita. Je sentis mon désir s’éveiller. J’imaginais mon ...