Lucie, l'amie intime ! (10)
Datte: 26/06/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: CHARLES-LOUISE, Source: Xstory
Bien calé dans le lit de Lucie, je la regarde.
Les yeux mi-clos, elle donne l’impression de revivre entièrement sa soirée et j’en suis persuadé, bien que je ne l’aie pas vue à cause du drap qu’elle a sur elle, sa main a dû caresser son sexe.
Je fais une tentative de rapprochement, mais je me fais rabrouer et je n’insiste pas.
Elle me regarde en souriant et me tend la main.
— Je peux te dire que Louise a apprécié lorsque je lui ai raconté cette soirée. Elle m’a enviée et en était même jalouse. Pourtant avec les récits qu’elle m’avait faits, c’était plutôt moi qui étais jalouse. C’est l’époque où vous alliez à l’hôtel et j’avais droit au détail de ce qui s’était passé et je peux te dire que plus d’une fois, j’avais la culotte trempée lorsqu’elle me quittait pour rentrer chez elle.
— J’ai l’impression, lui dis-je, que c’était presque une stimulation entre vous, non !
— Non, je ne crois pas, mais il est évident que lorsque j’allais avec Marc chez nos amis, cela me titillait et des images me passaient par la tête ! Je me souviens avoir eu une conversation avec Colette, un jour que nous déambulions dans Paris. Elle n’en revenait pas de mon évolution en matière de sexe. Nous nous étions rencontrés à ce moment-là depuis plusieurs mois déjà et elle se souvenait de notre première rencontre lorsque je refusais de montrer mes fesses. Je lui ai alors parlé de mon amie qui ne me cachait rien et Colette a un peu réagi comme toi en parlant de stimulation sexuelle, ce dont ...
... elle était ravie.
Dans les soirées où nous allions parfois, j’étais la plus exhibitionniste. Pas celle qui acceptait tout, mais ce que je faisais, je le faisais naturellement en faisant profiter les autres et surtout Marc.
— En fait tout ce que j’ai fait, je l’ai fait pour lui, pour son plaisir. C’est un homme tellement charmant. Avec Daniel et Colette, nous allons en soirée dans de beaux domaines, de beaux appartements où nous sommes reçus comme des rois et des reines.
— Mais je vois que tu es tout raide !
Lorsqu’elle m’avait tendu la main tout à l’heure, j’en avais profité pour me rapprocher, mais j’étais resté sage, bien qu’avec la main sur ma cuisse, ses doigts ne pouvaient ignorer l’état dans lequel j’étais.
— Tu crois, lui dis-je ?
Je retire le drap qu’elle a sur elle. Sa combinaison est remontée et je vois une tache d’humidité sur sa culotte.
— Et toi, cela ne t’a rien fait ?
— Toi, tu es dur et moi, je crois que je suis trempée !
— Je vais trouver un moyen d’assécher cela. Je me positionne à genoux face à elle, retire l’oreiller qu’elle avait mis dans son dos. Je fais glisser sa culotte sur les cuisses. Il n’y a pas que la trace d’humidité que j’ai vue tout à l’heure, tout le fond est mouillé même la combinaison. Je veux lui écarter les grandes lèvres pour mieux la lécher, mais elle me repousse.
— Non, je ne veux sentir que tes lèvres et ta langue !
Je retire donc mes doigts et donne de petits coups de langue. Aussitôt, elle écarte les ...