1. Marlene au hammam


    Datte: 19/08/2018, Catégories: fff, fépilée, sauna, fsoumise, fdomine, massage, Oral init, initiatiq, Auteur: Maxime, Source: Revebebe

    Le rendez-vous est fixé à ce soir 19 heures.
    
    Pour la première fois je me rends dans un hammam. Ma copine esthéticienne m’a assuré que c’était un endroit divin et relaxant.
    
    D’un air mystérieux elle a appuyé son affirmation :
    
    — Tu verras, c’est TRES relaxant, vraiment.
    
    D’autorité, elle m’a pris un rendez-vous au « hammam boudoir », rue St Jacques à Grenoble.
    
    En cette mi-juillet il fait très chaud et me rendre dans un lieu encore plus chaud n’est peut être pas l’idéal ! Mais c’est trop tard, j’ai acquiescé.
    
    De retour du boulot, je rentre rapidement pour me rafraîchir un peu. À peine rentrée, je fais valser mon petit haut par-dessus ma tête. Mon soutien-gorge pigeonnant en dentelle pourpre peine à camoufler les aréoles si sensibles de ma gorge ronde et ferme. Je la libère illico et ce simple frottement en fait tressaillir les pointes. Buste et ventre nu, je dégrafe ma jupe ultra courte à volants. Ce matin, ma collègue de boulot m’a dit en riant que c’était un « scandale » de porter ça dans la rue ! Pour ne pas la contredire et la faire bisquer un peu, j’ai entamé un 360 de danseuse, lui laissant ainsi admirer la quasi intégralité de mon popotin rebondi, à peine fendu du mince trait blanc de mon string en dentelle de Calais (très « ajouré » …).
    
    Habituée à mes frasques, elle a rit de plus belle, mais la petite lueur qui brillait dans ses yeux ne m’a pas échappé… Ce sera à suivre…
    
    Enjambée, la jupette rejoint le canapé de cuir rouge qui orne mon salon. Il ...
    ... fait meilleur ainsi vêtue dans la fournaise Grenobloise. Mes doigts agrippent les fines bandes latérales de mon string et les rabattent d’un geste sec sur mes cuisses. L’entrejambe ne suit pas. La moiteur de mon entrejambe le colle à mon sexe glabre. J’écarte un peu les jambes afin de libérer l’étroite bande de tissu chiffonné de mon entrecuisse. Il se décolle soudain, étirant légèrement mes petites lèvres lisses et trempées de sueur. J’en sursaute presque !
    
    En le retirant de mes pieds, j’attrape du regard mon profil sur le grand miroir du salon : belle vision ! une grande brune, juchée sur ses talons hauts, buste penché et mamelles libérées, lève haut la jambe afin de récupérer son dernier rempart. Le galbe de la fesse est arrondi par la position, les muscles des cuisses saillent et la fermeté des seins, même dans cette position, se devine sans ambiguïté. C’est moi ! Un peu d’autosatisfaction ne fait jamais de mal !
    
    Je me glisse sous la douche fraîche, et savoure ce moment de détente. Mes mains glissent sur mon corps, s’attardent sur ses courbes, mes doigts plongent dans la vallée, escaladent les collines, contournent des monticules et se perdent enfin sur les bords de la baignoire pour couper le flux d’eau qui cascade.
    
    Il faut y aller. La rue St Jacques n’est qu’à quelques pas d’ici.
    
    J’arrive devant la porte. Ou plutôt l’entrée. Le bois de la porte monumentale est finement sculpté de figurines qui s’enchevêtrent. Je toque, la porte s’ouvre seule. Je suis un long ...
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