Mon père me prend en mains (2) - Histoires de Sexe

Mon père me prend en mains (2)

— Lilian ! Réveille-toi !

J’émerge doucement de ma sieste. Je suis couchée sur le ventre, et mon père me dévisage avec un grand sourire.

Je me lève et je lui saute au cou en le serrant dans mes bras.

— Papa !

— Je me suis demandé qui était cette jolie blonde qui bronzait dans mon jardin les fesses à l’air ! C’est fou ce que tu as changé !

J’esquisse un sourire un peu gênée et passe pudiquement un bras devant mes petits seins.

Il se reprend :

— Mais non, je te trouve super, ne t’en fais pas Lilian. Tu ressembles à une vraie bimbo !

Son compliment me fait plaisir.

— Merci beaucoup Papa, mais je préfère qu’on m’appelle Cindy maintenant... Ça ne te dérange pas ?

— Oups, c’est vrai que tu veux être une fille. Bien sûr que ça me dérange pas, au contraire, une bimbo mérite son prénom de bimbo.

Je pousse un petit rire et le reprends dans mes bras. Ses mains se posent sur mes hanches. Ma poitrine est collée à lui, je me sens bien.

Il me lâche et me demande si je me suis bien installée et si j’ai fait bon voyage, puis me dit qu’il va faire le repas et que je peux passer à la douche si je veux.

Je me dirige vers l’étage où se trouve la salle de bain.

— Cindy, une dernière chose.

— Oui Papa ?

— Mets toi de la biafine sur les fesses, tu as pris un petit coup de soleil, il y en a dans le placard de l’entrée.

Je me tourne de dos devant le miroir du salon.

Effectivement, mes fesses sont très légèrement rouges. Je réalise que mon père a du ...

... sacrément les regarder pour l’appercevoir.

Je vais chercher la biafine, mon père me regarde depuis la cuisine américaine.

Je m’en mets sur les fesses, et je commence à les masser doucement pour que la crème pénètre bien. Je lève les yeux vers mon père. Son regard est fixé sur le spectacle que je lui offre malgré moi.

Je baisse les yeux un peu honteuse et termine l’étalage, avant d’aller prendre ma douche.

Le repas est parfait, mon père a fait une salade et a ouvert une bouteille de vin blanc.

Nous rattrapons le temps perdu en riant, et la conversation arrive à mes évolutions.

— Qu’est-ce qui te plaît dans le fait d’être une fille ?

— J’aime bien les vêtements, le maquillage, et que les hommes me regardent. J’aime avoir des formes.

— Ça c’est sûr que tu en as des formes !

Je suis charmée et j’esquisse un sourire innocent.

— Ah bon ?

— Oui, tes seins sont superbes ! Mais le mieux c’est derrière...

— Qu’est-ce qu’il a mon derrière ?

— Tu as un très beau cul de femme. Il remue quand tu bouges. Je peux te dire que voir la ficelle de ton string microscopique coincée entre tes grosses fesses pendant que tu les malaxes à la biafine c’est un sacré spectacle !

Je rougis en souriant. Mon père est cash et sans aucun tact mais ça me plaît de savoir que mes fesses lui ont tapé dans l’œil.

Il remarque mon léger malaise teinté de plaisir à recevoir ses remarques.

— Tu as du avoir quelques mecs qui en ont profité non ?

— Non papa, je ne sais ...