1. Nouvelles Technologies Risques et Opportunités (1)


    Datte: 25/06/2022, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Eyes76, Source: Xstory

    ... ondulés et bruns.
    
    A mon retour à la maison, Bertrand a voulu me faire l’amour exactement dans la même tenue que sur la photo que je lui avais envoyée. L’idée m’a séduite, j’ai remonté ma jupe sur mes hanches, et il m’a fait l’amour sauvagement après quelques préliminaires rapides.
    
    Le lendemain, j’ai fini par prendre une photo de mon sexe nu, dans les toilettes du boulot. J’ai une petite toison brun assez dense, coupée assez courte, et dont mes petites lèvres dépassent. Elles brillaient, car je les avais humidifiées du fruit de mon excitation à l’idée de lui envoyer cette photo, et ce, dès mon arrivée au travail afin qu’il l’ait reçue à son réveil.
    
    Cela a eu l’effet escompté.
    
    Il a répondu à mon message dès qu’il en a pris connaissance par un :
    
    — Merci, Ma Chérie.
    
    Il est venu me chercher à la sortie du bureau pour m’emmener prendre un verre, puis on s’est fait un petit resto. Nous avons parlé de cette photo assez longuement, il m’a embrassée souvent, m’a touché les cuisses et les fesses à chaque occasion, ses yeux pétillants dévoraient mon décolleté que j’avais accentué pour lui plaire un peu plus. Il m’a confié que ces petites expériences nouvelles l’excitaient terriblement, et j’ai reconnu que j’y prenais du plaisir aussi.
    
    Nous avons convenu de continuer à stimuler notre sexualité par ces petits jeux tout en étant conscients qu’il faudrait bien en inventer d’autres si on souhaitait que cela dure.
    
    Sur le trajet du retour, il n’a pas résisté à me ...
    ... caresser les cuisses jusqu’à remonter à mon pubis, puis à frotter mon clitoris et mes lèvres par-dessus mon string qui était bien trempé dans cette zone-là.
    
    Je me suis assurée de son excitation en posant ma main sur son entrejambe, et fus satisfaite de sentir une belle bosse bien dure malgré la prison de son jean un peu serré.
    
    En arrivant à la maison, nous n’avons pas pu résister plus longtemps à l’excitation qui nous possédait, il a baissé son pantalon dès que nous fument dans l’entrée, m’a relevé la jupe, m’a soulevée et plaqué le dos au mur, a écarté mon string d’entre mes fesses en libérant l’accès à ma petite chatte dégoulinante, je l’ai enlacé de mes jambes autour de sa taille, avant qu’il me pénètre d’un grand coup de reins.
    
    Nous avons baisé brutalement et rapidement. Une dizaine de ses coups de boutoir suffirent à nous faire atteindre l’orgasme à tous les deux.
    
    Nous restâmes ainsi, enlacés une ou deux minutes, reprenant notre souffle, en sueur, nos sécrétions d’amour lui dégoulinant sur les couilles et les cuisses.
    
    Sur ce, nous avons opté pour une bonne douche. Là, nous avons à nouveau fait l’amour, lentement, tendrement, longtemps, avant d’aller dormir.
    
    Cela faisait au moins dix ans que nous n’avions pas eu deux coïts successifs, et c’était bon.
    
    Les deux jours suivants, Bertrand étant en déplacement professionnel, je me retrouvai seule.
    
    Je lui envoyai deux photos, l’une où j’étais en talons aiguilles, bas, guêpière, sans culotte debout devant le ...
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