Willow, soumise atypique (5)
Datte: 24/06/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Willow, Source: Xstory
... Je crie ; il grogne. Nous prenons un pied pas possible. C’est, je crois, l’orgasme le plus fort que j’ai eu avec lui et même de toute ma vie. Et il ne doit pas être loin de se dire la même chose tellement il a eu l’air de s’éclater.
Puis, après quelques secondes sans rien dire, avec seul le mélange de nos souffles qui résonne dans la pièce, il se retire de moi et enlève le plug en même temps. Je faisais genre tout à l’heure mais là, je suis à deux doigts de m’effondrer. Mes jambes flageolent et je m’agrippe à l’épaule d’Alexandre, qui me soutient de suite. Il dégage mes cheveux de mon visage et il embrasse mon front. Il me soulève et il me porte dans la douche à l’italienne qui se trouve dans le coin de la pièce. Bon ben une chose est certaine, après cette longue et éprouvante soirée, je donne raison à Alexandre : je n’ai ni la force ni l’envie de rentrer chez moi pour dormir. Donc j’accepte finalement son invitation de tout à l’heure avec grand plaisir. La douche chaude qu’il me fait prendre en m’aidant fait du bien à mon corps endolori et finit de me casser. Je rejoins péniblement le lit accompagnée par Alexandre, je retire le peignoir et m’allonge nue sous un simple drap. Je crois qu’il m’a dit bonne nuit mais je n’en suis même pas certaine. Je suis déjà en train de dormir…
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Devant, des ruines partout : la ville est en partie détruite. Je ne sais pas où je suis exactement mais Arthur est là, tout proche. Nous sommes sur une petite ...
... colline, dans les vestiges d’une maison qui surplombe la cette cité ravagée par la guerre. Au loin, un convoi de voitures est arrêté devant un grand bâtiment, pas trop amoché, qui borde la ville. Je dis au loin parce nous sommes postés à environ 800 mètres des événements. Quelques hommes s’affairent et ont l’air d’attendre quelqu’un ou quelque chose. J’observe tout ça grâce à la lunette de mon Hécatte 2 dernière version. Nous devons flinguer un des leaders des types d’en face, des rebelles comme ils se nomment. Je contrôle déjà ma respiration et je suis hyper calme, j’analyse et donne les infos à Arthur, allongé près de moi et qui regarde aussi la rue avec son monoculaire :
— Ok : quatre véhicules, dont un blindé. Cinq hommes le long des véhicules et deux près de l’entrée du bâtiment. Tu vois autre chose ?
— Jusque là, rien de plus.
— Ok. Donne-moi les éléments du coup : distance, vitesse du vent. On est bien camouflés toujours ?
— 811 mètres.
— 811 mètres, confirmé.
Puis il en fait autant avec la vitesse du vent et je répète aussi l’information reçue. Il devra le refaire si jamais il y a un changement significatif avant l’arrivée de la cible. Je le sens mal, quelque chose ne tourne pas rond, j’en fais part à Arthur.
— Ça va pas ! Y a un problème, c’est trop long !
— Attends de voir, ça devrait pas tarder.
— C’est pas normal je te dis. Ah ! Ça bouge !
En effet, dans la rue un des hommes ouvre une portière de voiture, un autre la porte du bâtiment. ...