1. La trahison - Vers ma nouvelle vie (6)


    Datte: 23/06/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: miche1837, Source: Xstory

    ... attente, mon bassin se soulève, poussant à l’extrême vers la hampe qui talonne maintenant le fond de mes entrailles. Malgré la douleur qui me talonne sur la partie externe de mon sexe et l’intérieur de mes cuisses, un certain plaisir monte en moi. Je sens la cyprine qui peu à peu lubrifie mon vagin, je savoure ce mélange de douleur et de plaisir, je jouis de cette possession sauvage, presque animale.
    
    Le fermier, penché au-dessus de moi ahane et souffle bruyamment à chaque poussée, il me triture les seins, il pince mes mamelons, il me ramone copieusement et sans ménagement, puis brutalement il se contracte, laisse échapper un soupir et se déverse copieusement en moi, enfin il retire un sexe dégoulinant et approche de ma tête.
    
    — Vas-y Joseph, à ton tour ! Et toi suces ma belle et nettoies.
    
    Et sur ces bonnes parole, il me plante sa bite dans la bouche tandis que Joseph se déloque à son tour et me pénètre tout aussi brutalement que son patron, mais son sexe de taille inférieur réduit la sensation de douleur. De plus, le sperme qui remplit mon vagin facilite la pénétration et les va et vient du domestique qui, excité par tout ce qui a précédé éjacule presque aussitôt. Il se retire de ma chatte dégoulinante et se ...
    ... réajuste.
    
    — C’est bon Joseph, tu as pris ton pied, elle vaut le coup hein ? Ce n’est pas tout ça mais on a du boulot à finir avant ce soir ! Allez, au revoir ma belle et à la prochaine ; jamais deux sans trois. Et n’hésites pas à passer vers la ferme un de ces jours, Mireille sera ravie de faire ta connaissance et on pourra passer un bon moment.
    
    Sur ces paroles, il se remonte son pantalon et tous deux ils reprenne le chemin et s’enfoncent dans le bois. Brisée, je reste allongée sur le tronc d’arbre. Le sperme suinte lentement de ma chatte et coule le long de mes cuisses. Je relève lentement la tête et contemple le spectacle de mon corps dévasté. Je suis couverte de cloques de la poitrine aux genoux et marbrée de plaques rouges. Les orties ont laissé des traces.
    
    Je me lève péniblement, ramasse mes affaires, et sans même me rhabiller prend le chemin de la maison en courant. Au passage de menues branche me cinglent, ajoutant de petites trainées rouge sur mon corps meurtri. A peine arrivée, je plonge dans la piscine. L’eau fraîche me fait un bien énorme et calme les brûlures qui parcourent ma peau. Je reste ainsi un long moment, puis sans même m’essuyer, je sors de l’eau, vais me jeter sur le lit et m’endors profondément. 
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