La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1210) - Histoires de Sexe

La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1210)

... Walter qui te donnera ton travail pour aujourd’hui.

Je fis ce que le Maitre m’exigea. J’enfilais une robe et mis le plug en place. Je pris le bus et le métro sans souci et enfin je me présentais à l’heure chez le gynécologue à 10h. J’attendis 25 minutes dans la salle d’attente puis la secrétaire me fit entrer dans le cabinet du gynéco. Celui-ci était à son bureau, se leva et me dit :

- Bonjour la petite chienne ! Voila donc la nouvelle chienne de mon vieil ami, Monsieur le Marquis… Tu es magnifique…. Ici tu as autorisation de parler car je vais avoir besoin de savoir comment tu te sens durant l’examen. Déjà, j’ai besoin de ton prénom, de ton nom de famille et de ton nom de chienne.

- Bonjour Monsieur, je m’appelle Cristal … Cristal de Bourbon … alias chienne Vénus.

- Bien, maintenant tu vas t’installer sur la table, je vais vérifier si tout va bien.

Le gynécologue examina donc mon intimité, échographie, toucher vaginal, frottis aussi. Vérifia même mes parois anales. Tout cela m’excitait fortement, je l’avoue, et je sentais au fur et à mesure de l’examen que ma mouille coulait, ce que le médecin remarqua.

- Eh bien petite chienne, serais-tu en chaleurs ? Je crois bien que oui. Tu es complètement trempée, dit-il en sortant ses doigts trempés de ma cyprine. Rien à signaler autrement, tout va bien et tout fonctionne comme il faut. Tu es visiblement en bonne santé. Maintenant que l’examen normal est fini, je vais pouvoir m’occuper de toi plus personnellement. ...

... Car ta consultation, petite chienne en chaleurs, Monsieur le Marquis m’a dit que tu me la paierais en nature et j’entends bien être ainsi payé.

A ses mots, je sentais l’excitation en moi augmenter et je coulais encore plus. Le gynécologue commença à me doigter d’abord avec un, puis deux, puis trois doigts et je comprenais ce qu’il voulait faire. Il entreprenait de me fister, donc j’écartais encore plus mes jambes, mes cuisses pour faciliter le passage. Et en quelques minutes, d’un travail sur ma chatte, il entra sa main en moi jusqu’au poignet et fit doucement manœuvrer de manière circulaire sa main. Et je dus retenir de crier mon orgasme proche au vu de la jouissance que je sentais monter, alors je me contentais de gémir de plaisirs. Une fois quelques va-et-vient exécutés en plus des mouvements circulaires, il retira sa main et me fit me mettre à quatre pattes. Il enfila une capote et commença à me besogner la chatte de sa grosse bite qu’il arborait fièrement après l’avoir sorti de son pantalon. Elle était énorme en diamètre, pas très longue mais très volumineuse en épaisseur. Il en profita pour me branler aussi le clitoris. Je continuais à gémir tellement mon plaisir montait au fur et à mesure des coups de reins du gynéco et de la stimulation de mon clito tandis qu’il me baisait sauvagement à même le sol, moi en levrette...

- Tu peux jouir salope, je veux vérifier ce que Monsieur le Marquis m’a dit, que tu es une grosse fontaine de mouille… (tout en disant ça, il me ...