Underground - La Cave
Datte: 19/08/2018,
Catégories:
fhhh,
voisins,
copains,
nympho,
Oral
fist,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
uro,
scato,
exercice,
Auteur: @+ch0uM, Source: Revebebe
... je resserre mon étreinte préventivement, sa voix s’éteint dans un gargouillis. Cependant, Stéphane s’est extrait du vagin surpeuplé, il crache sur le sillon culier, je vois ses mains s’affairer sur l’orifice dont il a visiblement l’intention de reprendre possession. Et là, je le vois s’arc-bouter et presser à deux mains sur les fesses de Barbara pour la faire avancer. Sous elle, David proteste :
— Hé ! qu’est-ce’tu fais !? Tu m’as « sorti » !
Stéphane ne prend pas la peine de répondre et continue de s’affairer à deux mains, il pousse sur les épaules de Barbara pour lui voûter le dos puis il reprend son sexe à deux mains, le guide…
Alors qu’elle ne tétait plus mon phallus qu’assez distraitement pendant tout le temps de la manœuvre, je l’ai sentie se raidir, ses lèvres se sont refermées autour de mon chibre et son palais s’est mis à vibrer fortement sur mon gland alors que me parvenait le long cri étouffé de Barbara.
— Et là, tu l’sens bien, mon reuf ?! dit Stéphane sur un ton de défi.
— Ouais, tu la sens, ma queue dans ton gros cul ?! renchérit David en ponctuant sa question ternaire d’un fort coup de hanches.
Barbara éructe deux petits cris autour de mon mât, je suppose qu’ils marquent son acquiescement… Mais Stéphane n’en a visiblement pas fini, d’une main autoritaire il arrête le mouvement de croupe que la demoiselle a déjà entamé sur le sexe de David.
— Attends, j’t’ai pas dit d’bouger… il dit en fixant son sexe qu’il guide d’une main.
Le hurlement ...
... de Barbara m’éjecte littéralement de sa bouche, je lâche ses cheveux, son front vient frapper contre le renvoi du fauteuil, entre les chevilles de David.
Plus personne ne bouge, le silence qui suit n’est plus troublé que par les halètements rapides de la jeune femme, comme si elle cherchait à retrouver son souffle.
— Oh, putain, mon cul… murmure-t-elle doucement, comme à elle-même.
— C’est trop pour toi ? Tu veux qu’on arrête ? dit Stéphane en lui caressant la croupe, comme soudainement pris de remords.
— Non, non… Mais là, c’est un peu plus gros qu’d’hab’, faut que j’m’y fasse… répond-elle, toujours immobile, la tête entre les mains. Deux bites dans l’cul… C’est pas tous les jours… conclut-elle en se redressant à demi.
Elle tortille du séant, par petits à-coups, comme pour mieux installer les deux frères dans son rectum avant de les laisser donner l’assaut final, elle les « installe » par touches successives qui se font d’abord de plus en plus rapides puis de plus en plus en plus amples, de plus en plus profondes.
J’ai vu l’expression du visage de Barbara passer de la douleur à l’inquiétude puis à une attention soucieuse, mais maintenant, je n’y vois plus que cette crispation de la recherche du plaisir. C’est elle qui impose le rythme, c’est elle qui projette son cul d’avant en arrière pour se faire défoncer l’anus par les virilités conjuguées des deux frères.
— Suce ! je lui dis en présentant à nouveau ma bite à quelques centimètres de son visage.
— J’veux ...