Une hôtesse...parfaite
Datte: 19/06/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Trixie, Source: Hds
... crachai sur la base de sa queue noire, et ma langue étala ma salive. D'une main, je lui masturbai le gland tandis que de l'autre, je caressai ses couilles. Il gémit sans discontinuer. Mes lèvres se positionnèrent sur le bout de son gland et ma langue titilla son méat, puis par petites saccades, j'enfournai le phallus brûlant. Sa bite glissa dans le fond de ma gorge, puis je la ressortis pour mieux l'avaler encore plus profondément, encore et encore. Il haleta comme un soufflet de forge, m'encouragea, me félicita, son mandrin palpita dans ma bouche, je m'excitai de plus en plus, mes mouvements de succions furent de plus en plus rapides. Je me masturbai d'une main. Il me malaxa les seins, avec force. Il allait sûrement jouir dans pas longtemps... mais cela s'éternisait...
— Trixie... je crois que votre bouche ne suffira pas.!
— Oui, je pense aussi, votre queue est tellement grosse que je ne peux pas toute l'avaler !
— Il va falloir procéder autrement.
Des pensées se bousculèrent dans ma tête. Il n'est pas beau, vieux, grassouillet, mais il est noir, il a une bite énorme et Boulier filme, je mouille, je le laisse me baiser. Oui petite Salope tu en as envie et tu vas aimer ça !!
Il me releva, se mit derrière moi, sa grosse main noire, m'engloba le sexe, son majeur et son index pénétrèrent dans ma fente trempée. J'écartai les jambes pour faciliter ce doigter. N'Doumbé admira mon dos qui se trouvait devant lui, il le lécha tendrement, il recula un peu, tout en ...
... continuant ses caresses. Ses yeux se portèrent sur l'arrière du porte-jarretelles.
— C'est ravissant, en Afrique il n'y a pas ces dessous. Ça vous va très bien d'ailleurs. Cela met en valeur votre féminité et ça m'excite beaucoup, vraiment beaucoup ! Oui beaucoup.
La partie en dentelle s'arrêtait juste à l'endroit ou partait la lanière qui soutenait le bas, la fermeture en était assurée par une mince bande de tissus, tranchant sur le blanc de la peau. Elle était positionnée au début de la raie qui partageait mes fesses fermes.
Il en approcha son énorme sexe noir et le glissa entre la peau et la bande de tissu blanche, et le frotta voluptueusement le long de cette raie qui lui donna sans nul doute des idées.
Il me pencha sur la petite table, me demanda d'écarter les jambes, j'obéis de bonne grâce. Tenant son gros pénis raide d'une main, il le passa entre mes jambes, le gland fit quatre ou cinq aller et retour le long des lèvres trempées de ma chatte. Le bout à chaque passage s'attarda sur mon clitoris et le frotta doucement.
Puis, il l'entra dans mes petites lèvres et attaqua l'entrée de mon vagin. Je cambrai les reins pour mieux le recevoir. Ma vulve, bien lubrifiée, pénétrée depuis quelque temps par des sexes que l'on pouvait qualifier hors normes, n'eut pas trop de mal à accepter d'un seul coup la moité du gros pénis noir. Il fut étonné de la facilité de pénétration de son gros tuyau noir. Il le retira presque entièrement et d'un coup de rein puissant enfonça son ...