1. On Ne S'habitue Jamais


    Datte: 17/06/2022, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bySalomeD, Source: Literotica

    ... toujours nues, on est emmenées au Havre. D'où l'on prends un cargo. La traversée dure deux semaines, laps de temps pendant lequel les quarante hommes d'équipage nous violeront. Mais c'est moins dur que la maison ou la cave, ils sont moins nombreux, on a enfin quelques heures tranquille pour dormir ou manger. Je n'ai jamais su dans quel pays on est arrivé. La seule chose que je sache, c'est qu'il fait assez chaud. On est emmenées dans un camp. On va y rester six mois. On y sera violées, torturées, battues chaque jour. C'est un camp de dressage. On en repart que quand nous sommes devenues vraiment obéissantes et expertes en sexe.
    
    De là, on part au Luxembourg. En avion cette fois, on est habillée. Un seul homme nous accompagne. C'est Hugo, un blond d'environs vingt-cinq ans. Il est sadique et violent. On l'a souvent subies au camp. Il nous accompagnent ensuite dans un grand appartement de Luxembourg, la capitale. Il y a quatre chambres et un grand salon. Shannon, Lisbeth et moi avons chacun notre chambre. On passe une soirée tranquille, la première depuis notre arrivée à cette soi-disant fête. Sauf pour Shannon qui doit dormir avec Hugo, qui ne se prive pas de la baiser et de l'enculer.
    
    Dès le lendemain, on comprend ce que l'on fait ici. On est devenues des escort à cinq-cents euros de l'heure. Tout est permis avec nous, nos riches clients ne s'en privent pas d'ailleurs. On reste dix ans ici, jusque à nos trente ans. Bossant dix-huit heures par jour. Puis nous ...
    ... jugeant trop vieille, on est transférées. Des filles plus jeunes nous remplaçant alors.
    
    Shannon, Lisbeth et moi sommes alors transférées à Lille. Là, ce n'est plus Hugo qui s'occupent de nous, mais un mac, Vlado. Aussi violent et méchant que Hugo. Il ne se gêne pas pour dormir avec chacune de nous, chacune notre tour. Là encore, on bossent dix-huit heures par jours. Sur le trottoir de vingt heures à six heures, sur des chantiers, dans des caves ou des bars de six heures à quatorze heures. Le reste du temps est réservé à notre repos. Sauf pour celle qui dort avec Vlado, celle-là à droit à une heure de baise en rab. On reste quinze ans là-bas. À quarante-cinq ans, bien abîmées par une vie de sexe et de violence subie, nous descendons encore plus bas, l'organisation de traite des blanches à laquelle nous appartenons, nous faisant encore descendre d'un grade.
    
    On parts pour la Turquie, dans un bordel d'abatage à dix euros les quinze minutes. Les hommes peuvent passer seul, à deux ou à trois. Une sonnerie retentit quand le quart d'heure est écoulé. L'homme (ou souvent les hommes...) doit alors partir ou repayer pour quinze nouvelles minutes. Pour augmenter le profit, on a que quatre heures de repos, se faisant prendre vingt heures par jours. Aucune de nous n'a plus jamais eus de nouvelles de sa famille. On sait que l'on a été recherchées par la police, mais aujourd'hui, quarante après cette maudite fête où tout à commencé, tout le monde nous a oubliées.
    
    Aujourd'hui, j'ai ...
«12...891011»