Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (8) - Histoires de Sexe

Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (8)

JOUR 3 - APRÈS-MIDI/SOIR

Quelques minutes plus tard, nous étions tous de retour dans la voiture. Ma mère conduisait, guidée par Judie. Nous prîmes rapidement la direction de l’usine de panneaux solaires.

Durant le trajet, Zoé, qui était au milieu de la rangée de sièges arrières, passa discrètement sa main gauche dans mon caleçon pour attraper ma queue. Je la regardai horrifié que Satyne voie ça, mais cette dernière ne semblait intéressée que par le paysage qui défilait à sa droite. Pour ne pas éveiller les soupçons, je plaçai une couverture au-dessus de mes jambes et je m’accoudai à la fenêtre pour penser à autre chose. Cependant, il était compliqué de détacher mes pensées de la main qui me malaxait le pénis en présence de mes sœurs.

Heureusement, avant que toute jouissance ne monte, nous arrivâmes devant l’entrepôt gigantesque. Zoé retira vivement sa main de mon pantalon et nous sortîmes de la voiture.

Ma mère s’approcha d’une petite porte en métal qui jouxtait l’entrée principale du bâtiment verrouillée à double tour. En deux temps, trois mouvements, la serrure avait été crochetée. Nous entrâmes dans le carrefour qui se découvrait devant nous. Ma mère s’éclaircit la gorge et dit :

— Ok ! On va se séparer ici en deux groupes ! Judie et Tennessee, vous devez trouver des packs de batteries pour stocker l’énergie récoltée. Zoé et Satyne, vous venez avec moi, on va chercher des panneaux solaires.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Nous partîmes dans deux directions ...

... opposées en suivant les panneaux indicateurs. Judie trottinait devant moi le long du couloir sombre. Mon regard se posa sur son cul rebondi qui bougeait en rythme avec sa cavalcade. Quel morceau !

Je secouai aussitôt la tête et me pinçai pour revenir à la réalité. Voilà que je matais ma propre sœur ! Qu’est-ce qui me prenait ?! Je repris ma marche en prenant soin de garder mon regard au-dessus des épaules de ma sœur.

Le couloir débouchait dans une salle de superficie assez moyenne mais avec un plafond astronomiquement haut. Je ne parvenais même pas à voir le toit. Au milieu de la salle, une montagne de cartons se dressait. Je m’approchai de la base afin de regarder l’étiquette d’un des cartons.

— "Batterie H11.5 à 11.5kWh Haute Tension", lus-je.

— C’est ça ! S’écria Judie par-dessus mon épaule.

Et elle saisit son talkie-walkie.

— Maman ?! Tu me reçois ?

Un craquement se fit entendre dans l’appareil.

— Oui, cinq sur cinq ! Vous avez trouvé les batteries ? Répondit ma mère.

— On a trouvé une montagne de batteries ! C’est du 11.5kWh, on en prend combien ?

— Prenez-en une vingtaine pour qu’on soit ultra-larges !

— On les transporte comment ? Ça pèse 250 kilogrammes, ces trucs !

— Trouvez un camion pour charger ça et utiliser les machines qui vous entourent !

Nous regardâmes autour de nous. Il y avait en effet un gerbeur électrique dans un coin de la pièce. Ma sœur le fit savoir à ma mère.

— On a ce qu’il faut ! Comment ça se passe de votre ...