1. Cette punition qui a changé ma vie (1)


    Datte: 14/06/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Porphyrion, Source: Xstory

    ... intimes.
    
    Ma main droite ne reste pas inactive et sort ma verge du pantalon, je commence à me caresser, de plus en plus fort au fur et à mesure que je perçois mieux une imperceptible douceur faite d’un mélange léger de quelques gouttes d’urine et de cyprine : ce string a été le témoin aujourd’hui des caresses d’Isha.
    
    La vision d’Isha, les cuisses écartées sur le lit, se caressant au travers de la dentelle du string, les mains enfonçant le morceau de tissu qui s’imbibe dans sa chatte alors que monte son plaisir en se rappelant le regard de son patron posé sur ses fesses, tout cela me fait exploser, le dos cambré, la bite tendue en avant, en longs jets de sperme sur le lit.
    
    Je reprends doucement mon souffle en gardant le string collé au visage. Quand je redescends, je réalise que j’ai maculé le lit. Un peu affolé à l’idée que Isha comprenne ce qu’il vient de se passer, je nettoie consciencieusement le lit, tire sur les plis et tente de remettre les sous-vêtements exactement à l’endroit où ils étaient.
    
    Le lendemain, j’attends Isha, mais ne la voyant pas arriver, je suis obligé de partir à la banque où mes premiers rendez-vous vont arriver. La belle doit se sentir gênée après son coup d’éclat de la veille et n’ose probablement pas me croiser ce matin.
    
    Je travaille la tête ailleurs toute la matinée, l’esprit encore à mon coup de folie dans la chambre d’Isha. A midi, n’y tenant plus, j’annonce à mon assistante que je ne suis pas en forme et que je rentre me reposer ...
    ... un petit moment chez moi.
    
    Impatient, je pars presque en courant jusqu’à l’appartement, j’ouvre la porte, haletant, et me précipite directement dans la cuisine. Isha est là qui me regarde un peu surprise, quelle déception, elle porte sa blouse habituelle.
    
    Je bafouille un peu sous le regard moqueur de la maid, prétextant un besoin de décompresser entre midi et deux, puis n’y tenant plus, je me lance maladroitement.
    
    — Isha, j’ai adoré la blouse que vous portiez hier, elle était tellement, tellement ...
    
    — Sexy, c’est le mot que vous cherchez ?
    
    Le rouge me monte au front. Pour toute réponse, je hoche la tête en détournant le regard.
    
    — Et c’est pour cela que vous avez taché mon lit, me dit-elle d’une voix où percent des tremblements de colère.
    
    Je ne sais plus où me mettre, je tente de maladroites excuses, mais sa voix cassante me coupe.
    
    — Je ne tolèrerai pas qu’un petit pervers prenne du plaisir en fantasmant sur moi, vous allez devoir payer ce que vous avez fait.
    
    Mon Dieu, pourvu qu’elle n’en parle pas à ma femme ! Je tente une supplique.
    
    — Je vous en prie, je suis désolé, je suis prêt à vous dédommager, quelle qu’en soit la forme.
    
    — Silence, minable, vous n’avez plus droit à la parole. Allez-vous enfermer dans votre chambre, je ne veux pas vous voir d’ici votre départ.
    
    Penaud, je me dirige vers ma chambre où je reste enfermé jusqu’à 14h heure, moment où je dois repartir à la banque. Alors que j’ouvre le plus discrètement possible la porte du ...
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