1. Transport(ée) (1)


    Datte: 12/06/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Blueberry89, Source: Xstory

    ... laisse perplexe.
    
    — Où va-t-on ?
    
    — Chez mon ami Christophe, celui qui était avec moi ce matin. Il nous attend. Cela fait une heure que je vous cherchais dans la foule.
    
    — Et comment pouviez-vous être certain que j’accepte de vous suivre ?
    
    — Ma belle, vous êtes chaude comme la braise, dit-il en plongeant ses yeux sombres dans les siens, j’ai senti que vous aviez envie de bien plus qu’un simple frottement dans les transports publics. Je l’ai lu dans vos yeux. Soyez honnête.
    
    Coralie reste muette, incapable de se décider.
    
    — Venez, je vous assure que vous n’aurez rien à craindre, si ce n’est de prendre beaucoup de plaisir.
    
    Parfois, le manque de sexe peut vous faire faire des choses dont vous ne vous croiriez pas capable. Et c’est le cas pour Coralie. Jamais avant elle n’aurait osé suivre un inconnu sans rien savoir sur la suite des événements. Elle prend le risque, attirée par sa proposition et le suit dans la voiture.
    
    L’homme reste silencieux tandis qu’ils se faufilent hors de la capitale. Le trajet prend du temps et Coralie commence à avoir chaud.
    
    — C’est encore loin ? ose-t-elle demander d’une toute petite voix.
    
    — Une bonne demi-heure, dit-il en fixant la route.
    
    Légèrement vexée qu’il ne lui accorde pas un regard, elle contemple le paysage défiler à travers la vitre. La circulation est fluide, assez pour ce qui lui vient en tête. Coralie ouvre son trench-coat en grand et écarte bien les cuisses. Elle pose ses mains sur ses genoux puis remonte ...
    ... lentement jusqu’à ses hanches, emmenant le tissu de sa robe dans son sillage.
    
    — Au fait, je m’appelle Coralie, dit-elle pour attirer son attention.
    
    Et c’est chose faite, car quand il la voit, assise sur le siège à côté en train de glisser ses doigts entre ses jambes, son flegme s’effrite d’un seul coup.
    
    — Éric, dit-il dans un soupir.
    
    — Ca ne vous dérange pas si je me déshabille ? Il fait vraiment trop chaud dans cette voiture...
    
    — Mettez-vous à l’aise, articule-t-il en reprenant un semblant de calme.
    
    Coralie enlève alors le string déjà trempé et expose un peu plus sa vulve gonflée aux yeux du conducteur plus vraiment concentré sur la route. Il ralentit et profite d’un changement de vitesse pour poser sa main sur sa cuisse et remonter jusqu’à ce que ses doigts atteignent la moiteur de son désir.
    
    — Vous m’avez l’air bien impatiente... commente-t-il en agaçant son bourgeon de chair tendu.
    
    Elle se trémousse sur le siège et pousse des soupirs impossibles à contenir. Le plaisir est tel qu’elle se laisse aller aux caresses de cet homme, ferme les yeux pour mieux savourer.
    
    Elle sursaute presque quand ce dernier se retire et repose sa main sur le volant. Il lui jette un coup d’œil entendu en direction de la grosse bosse qui déforme son jean.
    
    Coralie ouvre la braguette et en sort le membre imposant qui y était prisonnier.
    
    — Il est déjà bien dur. Hmmm belle taille... se dit-elle en empoignant son sexe dressé.
    
    Alors qu’elle fait coulisser ses doigts le ...
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