Ma chef Agnes (1)
Datte: 11/06/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: erooz, Source: Xstory
J’ai changé depuis quelques mois, de poste, et me voilà dans une agence, plein centre-ville, mais à 70 kilomètres de la maison.
Agence dirigée par Agnès, une femme de 45 ans, divorcée, mère de 2 enfants. Elle parait autoritaire, mais on sent bien qu’elle est humaine et sympathique. Quelconque physiquement, ni belle ni moche, elle porte sur son visage, les traces d’un passé difficile.
Elle doit mesurer 1m70 environ, 50 kilos grand maximum, elle n’a pas de réelles formes, une petite poitrine, et un fessier inexistant. Les cheveux mi- long, sans coupe, les yeux clairs, le regard agréable, bien qu’il soit triste.
On peut dire que je m’entends bien avec elle, ce qui n’est pas le cas de tous ici. J’ai appris avec le temps qu’il était préférable de la jouer soft, acquiescer quand il fallait, ne pas faire de vague, et on s’évite les soucis et les désaccords.
Ce matin, j’avais décidé d’aller évoquer les couts concernant mes frais kilométriques, en effet, cela représente un réel budget pour moi, et un beau trou dans l’argent du ménage.
Agnès était déjà là quand j’arrivais, la lumière dans son bureau me l’indiquait, je passe me chercher un café et je frappe à sa porte. Elle vint m’ouvrir, sourire aux lèvres, et un sympathique bonjour.
Elle portait une robe couleur chair, proche du corps, qui marquait évidemment ses sous-vêtements, un string pour aujourd’hui.
Même si ce n’était pas mon genre de femme, j’aimais regarder et deviner ce qu’elle pouvait bien porter ...
... comme dessous.
Après quelques minutes d’échange sur ma situation, elle m’avoua que ce serait difficile d’obtenir des indemnités, mais me proposa de faire du covoiturage.
Effectivement, son domicile se trouvait sur ma route, négociant un petit détour, elle me proposa de venir jusqu’à chez elle, et y laisser ma voiture, on prendrait alors la sienne, qui était un véhicule de fonction. Si je n’y voyais pas d’inconvénient, elle serait ravie de m’accorder ces économies, et en profiterait pour ne plus faire la route seule.
On a décidé d’essayer dès le lendemain, je devais la rejoindre à 8h30 maximum chez elle.
Le lendemain, je me tiens au programme, et me voici un peu en avance chez Agnès qui m’accueille en robe de chambre, les cheveux en bataille.
— Bonjour, je suis désolé, j’ai passé une sale nuit, j’ai du mal à me réveiller ce matin, entre ! vas-y, je file me préparer.
Je lui emboîte le pas, elle m’accompagne jusqu’à la cuisine, tout était plongé dans le noir, juste une lumière nous montrait un peu de vie.
— La nounou est venue récupérer les enfants, j’étais en train de boire mon café, fais-toi s’en un si tu veux, et si je peux abuser de ta gentillesse, pourrais-tu ouvrir les volets de la maison ?
— Pas de soucis, je m’en occupe.
Elle claque la porte de la salle de bain, où je ne peux m’efforcer de l’imaginer nue dans la douche.
Elle vit dans un joli pavillon d’une centaine de m2, je navigue entre les différentes pièces pour ouvrir chaque volet ...