1. De père en fils .... (3)


    Datte: 10/06/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    Comme chaque matin depuis que nous avons débuté notre séjour provençal, je me lève à l’aube pour profiter de la fraîcheur du matin. J’enfile une robe de chambre en satin, très légère, par-dessus ma nuisette et je descends dans la cuisine. En une petite minute, l’eau chante dans la bouilloire et je me sers un grand bol de thé. Puis je sors dans le jardin et je déambule entre les allées. Dans ce coin je respire le parfum d’un gros bosquet de lavande, là je regarde les abeilles déjà à l’ouvrage dans les fleurs de cosmos, plus loin j’admire un massif de rosiers et ici je tombe en admiration devant un genévrier rampant taillé en nuages. Le vieux maître des lieux a donc la main verte en plus d’avoir une queue faite d’un bois encore bien vert.
    
    Alors que j’emprunte une allée qui disparaît dans un petit taillis de bambous, je devine une présence derrière moi. Je n’ai pas besoin de me retourner pour savoir de qui il s’agit car je reconnais tout de suite la voix grave d’Aurélien
    
    — Bonjour très chère Hélène, quel plaisir de vous croiser ici à l’abri des regards.
    
    Je ne réponds pas car je suis certaine qu’il guettait mon réveil depuis sa chambre et qu’il m’a suivie dans le jardin pour profiter de mes charmes et non de ceux des massifs en fleurs. Je poursuis donc mon chemin entre les bambous en accentuant mes ondulations de la croupe. Il y a là un petit banc, je m’y appuie et tends mes fesses vers l’arrière.
    
    Sans un mot, Aurélien retrousse ma robe de chambre et ma nuisette. Je ...
    ... devine qu’il crache sur ses doigts qui viennent ensuite m’enduire les fesses de salive. C’est bien ce que je pensais, il veut mon petit cul comme il me l’a laissé entendre hier sur le bateau. Ses doigts agiles préparent ma petite rondelle. Je ferme les yeux et me détends, ses doigts se glissent un peu plus profondément.
    
    Soudain, il me saisit par la taille et son gland se faufile entre mes fesses. Compte tenu de la grosseur de son gland, il a la courtoisie de faire quelques mouvements lents pour faciliter la chose. Lentement, il pénètre en moi sans à-coups et, centimètre après centimètre, il parvient à investir totalement les lieux. Je respire fort pour m’habituer à ce corps étranger qui me transperce les reins. Heureusement, bien vite je prends l’initiative d’onduler de la croupe et Aurélien comprend aussitôt que je suis prête à être saillie comme il se doit.
    
    Ses mains remontent jusqu’à mes seins dont il excite les tétons et il commence à me travailler en profondeur.
    
    Très fier de pouvoir m’enculer comme il me l’avait promis la veille, il me dit
    
    — Oh quel cul vous avez Hélène ! J’aime naviguer ainsi, toutes voiles dehors. C’est grisant !
    
    Je lui réponds
    
    — Chut Aurélien ! On pourrait nous entendre ! Vous ne voudriez tout de même pas être contraint d’amener les voiles et de baisser pavillon avant d’avoir atteint votre objectif ?
    
    Tout en gémissant de plaisir, il me rétorque
    
    — Oh que non ! Je veux vous arroser comme vous le méritez.
    
    Ses mouvements se font ...
«1234...»