1. Grand Noir Confus (1)


    Datte: 10/06/2022, Catégories: Gay Auteur: Naysayer44, Source: Xstory

    ... lit, une vraie chienne. Mais quand je suis là, c’est moi le maître.
    
    — Intéressant.
    
    Le grand Noir commence à s’agiter.
    
    — Eh, commence pas à te tripoter la queue avec mes histoires de famille.
    
    — Eh, commence pas à me dire quoi faire. Tu me chauffes trop avec ta famille de salopes. Si tu baises ton père, t’es sûr de pas vouloir me la sucer un peu ?
    
    — Un peu ?
    
    — Un peu. Juste un peu.
    
    — Non.
    
    — Mais t’as pas de problème avec le sexe des hommes.
    
    — Dans le mille.
    
    — Alors, suce-la-moi un peu.
    
    — Il reste du café?
    
    Le grand Noir part refaire du café. Je m’assoupis.
    
    Je me réveille. Il est genre 5h du matin. Toujours aussi peu de lumière ici. Le type à la caisse s’est évaporé. Je cherche mon pote le grand Noir. Rien, personne a priori. Je tente la porte interdite, celle réservée au personnel. Mais en absence de personnel, je me dis que cette règle n’a plus lieu d’être. Je tire la porte.
    
    Beaucoup de couloirs, des placards avec réserves, appareil ménager. Enfin, des bureaux. C’est hyper-grand, je me dis. J’arrive devant une porte, ouverte. Je reste en dehors du cadre, j’entends des bruits de succion. Et des gémissements. C’est ...
    ... évident alors. Le grand Noir a obtenu de se faire sucer par la petite crevure à la caisse.
    
    Pas l’intention d’entrer. Même si ma bite joue à la chenille dans mon slip. Je prends mon téléphone, vois que j’ai des messages de ma mère. Plusieurs photos qui se téléchargent quand j’ouvre la conversation. On y voit des décolletés profonds, l’arrondi de ses obus, ce genre de choses que ma mère m’envoie régulièrement. C’est une exhibitionniste. Elle croit que j’aime ça, mais je préfère le réel. Rien à foutre de ses photos pseudo sexy. Moi j’aime avoir sa chair dans la bouche, pouvoir mordre ses mamelles et lui mettre des grosses claques dans la gueule. Qu’elle vienne me voir dans ma chambre lorsque je suis totalement absorbé dans l’écoute d’un concerto pour piano avec mon casque sur les oreilles, la voir se mettre à genoux en touchant mes genoux et ma braguette magique, avec ses yeux de chienne, et deviner ses lèvres m’implorer « est-ce que je peux te sucer ? » Voilà la réalité.
    
    La dernière photo, la queue de mon père posée sur les seins de ma mère, souillés par son vieux sperme liquide, me donne envie de l’insulter.
    
    Je suis énervé.
    
    Je rentre dans la pièce. 
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