Série les voisins - Épisode 9 : Mickael résistera-t-il à ces petites salopes. Partie 2/2
Datte: 08/06/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
Je m’appelle Mickael, cette histoire est la suite de l’épisode 31 dans Série « adultère » où je vous avais expliqué comment j’avais trompé ma femme Josiane deux fois, avec Mlle Carole, la propriétaire de l’immeuble, résidant dans son immense appartement, au cinquième et dernier étage.
Après cet odieux chantage, même si je n’avais pu faire autrement, je reconnaissais volontiers que j’avais vraiment apprécié baiser avec cette petite bourgeoise capricieuse. Ça faisait deux mois que je n’avais plus vu Carole, En rentrant du travail, j’appris par mon épouse Josiane que Mlle T avait l’intention de louer son logement et qu’elle le faisait visiter dans la soirée. Cette nouvelle me réjouit car je savais très bien que si cette salope me relançait, j’aurais d’énormes difficultés à lui refuser. Comme souvent après le film, je profitais des soirées douces pour aller courir une demi-heure au parc. Je savais qu’à cette heure tardive, le calme y régnait. Il n’y avait plus d’enfant, seuls quelques coureurs et certains couples d’amoureux se promenaient dans la pénombre.
Ce soir-là, je rentrais de mon footing nocturne, il était environ 22 h 30, Carole se trouvait à l’intérieur de l’ascenseur lorsqu’elle me vit, arrivée en courant. Elle lâcha ses deux sacs qu’elle avait dans les mains puis bloqua aussitôt les portes. Je l’avais prise par les épaules, je penchai ma tête pour lui faire la bise comme deux amis pouvaient le faire. Voulant se retrouver seule avec moi, elle m’attira dans la ...
... cabine. Sans attendre une seconde de plus, au lieu de me faire deux bisous, elle me ceintura avec ses bras pour un baiser fougueux, tout appuyant sur le bouton du 5e étage. Rien à faire, cette salope me faisait de l’effet, je savais que je ne pourrais pas lui échapper.
Ses lèvres douces soudées aux miennes et sa langue se mélangeait parfaitement à la mienne. Je sentais chez elle un grand besoin de baiser, elle était comme une morte de faim me triturant les fesses et se frottant contre mon sexe comme une hystérique. Je la poussai pour la plaquer délicatement contre la paroi de la cabine où le miroir réfléchissait nos corps et prit ses deux seins dans mes mains, ses tétons pointus poussaient le fin tissu de son chemisier par l’excitation. Depuis que je la connaissais, j’appréciais sa poitrine, je m’amusais tantôt à les lécher, tantôt à les mordiller ce qui ne faisait qu’accroître son plaisir et le mien.
C’était bien ce que je pensais, elle était probablement en manque car elle n’avait pas attendu pour poser sa main sur ma queue au-dessus de mon short en nylon qu’elle massa un moment avant de dire :
— Tu es déjà prêt, dis donc…
— Avec toi comment faire autrement ! Lui répondis-je tout en continuant de jouer avec ses seins.
Sans attendre plus longtemps, elle plia ses genoux et s’accroupit devant moi et descendit ma petite tenue sportive pour mettre à l’air ma verge dont elle appréciait la forme et la grosseur : « Oh quelle queue ! Elle m’a manqué. » Me dit-elle en ...