Se ressourcer en vacances en baisant - Histoires de Sexe

Se ressourcer en vacances en baisant

... mouille.

Puis, je commençais à la doigter, à écarter son sexe de mes doigts avec un, puis deux et enfin trois doigts qui fouillaient son sexe, je la baisais avec mes doigts et elle semblait adorer ça.

- Venez, suivez moi ! Me dit-elle tout à coup.

Après avoir pris nos affaires, nous allâmes chez elle. Une fois à l'intérieur, elle se plaça contre le mur, attendant que je vienne de nouveau m'occuper d'elle, ce que je fis avec un nouveau cunni. Puis, je vins l'embrasser avant qu'elle ne prenne ma main pour m'entraîner dans sa chambre.

- Tient, je ne pensais pas que vous souhaitiez faire l'amour dans le même lit où vous allez dormir avec votre mari ce soir.

- Çà l'apprendra à ne plus me toucher depuis si longtemps. Et rectification, je ne veux pas faire l'amour avec vous, je veux me faire baiser. Me dit-elle avec un gros sourire.

- Ça m'excite de vous entendre parler ainsi.

- Alors vous allez être aux anges car malgré mon âge je suis une salope et je suis une salope en manque de bite.

- Et là, vous avez envie de quoi ?

- Votre jeune bite dans ma bouche de vieille salope.

- Criez-le !

- Je veux me faire baiser par votre belle bite !

- Elle est à vous.

Elle approcha doucement son visage et déposa un bisou sur le bout de mon gland comme pour me faire languir. Je me mordais les lèvres en la regardant me grignoter. Elle commença enfin à me sucer. Julie le faisait tellement bien que je commençais à douter du fait que cela faisait des années ...

... qu'elle ne l'avait pas fait. Et si c'était vrai, alors je ne comprenais absolument pas comment son mari pouvait ne pas profiter du talent de sa femme !

En effet, elle arrivait à tourner sa langue tout autour de ma bite, tout en l’aspirant et en faisant des va-et-vient de mes testicules jusqu’à mon gland et elle n’était clairement pas prête à s’arrêter. Elle me suçait la pine jusqu’à l’os, et j’adorais ça comme jamais ! Puis au bout d'un certain temps, elle délaissa mon pénis pour s'occuper de mes testicules l’une après l’autre avant de se lever de sorte que nos visages soit côte à côte.

- Prenez-moi !

- Je n'ai pas bien entendu.

- Je suis à vous, je veux votre bite en moi.

J'adorais entendre cette femme se lâcher ainsi.

- Vous êtes ma chienne ?

- Oui Monsieur, je suis votre petite chienne !

- Mettez-vous en levrette alors.

Immédiatement, Julie se mise en position sur le lit. Je posais mon gland sur l’entrée rosée de sa vulve et immédiatement, elle s'empala d'elle même avant que je ne commence les va-et-vient ! Elle poussait de petits bruits stridents alors que j'accélérais de plus en plus la cadence.

- Vous aimez ?

- Oui, continuez de me baiser !

- Qui êtes vous ?

- Votre salope, votre pute, votre chienne !

Sur ses mots je redoublais de vigueur, mes coups se faisait plus fort, je sentais mes couilles taper contre ses fesses.

- n'hésitez pas à me donner quelques fessés, j'adore ça ! Me dit-elle

Pas la peine de me le dire deux fois ! Je ...