1. Beau-papa & Co (4)


    Datte: 07/06/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: charimarien, Source: Xstory

    Un mois plus tard, forte de mon nouveau passe-porc, je me présente à la douane de l’aéroport. Nous partons pour l’Asie, en Corée du Sud, la première étape d’une longue série de représentation pour Christian et Mariko. Dans l’avion, en première classe, mon chéri et futur époux me caresse déjà. Oh, j’ai prévu le coup, dessous fendu sous une robe courte, mais pas trop. Vous voyez, quand on aime baiser, il faut penser à tout. Le vol va être long avant d’arriver à Séoul. Avec Christian et Mariko juste derrière nos sièges, cela risque même d’être long et particulièrement plaisant. Au moment des plateaux-repas, que du bon, du coréen, Christian vient s’assoir, avec Mariko, près de nous. Il est temps qu’il nous dévoile le programme, un programme très chargé qu’ils nous annoncent. Je ne vais pas vous écrire tout le programme, mais sachez que cela représente environ plus d’une centaine de représentations à travers l’Asie.
    
    Le confort de cette première classe me donne plus envie de me reposer que de baiser. Ce qui, en soi, ne peut être que bénéfique. Du coup, je n’entends pas la fin des explications de Christian. Ma tête contre l’épaule de mon futur, je m’endors.
    
    Un baiser sur ma joue me réveille tout en douceur. Tout ce que j’avais pensé faire durant ce voyage est tombé à l’eau, cela dit, ce n’est que partie remise. À terre, la douane passée, Christian et Mariko semblent plus à l’aise que mon Alain et moi. Faut dire que la langue ne nous est réellement pas familière. Devant un ...
    ... chauffeur, ben il porte tout ce qu’il faut pour l’être. Christian discute, heureusement, en anglais dans le titre. Nous montons dans une belle limousine, du genre tous derrière et lui... devant. Merci Monsieur Brassens. Ce chauffeur roule tout en douceur, sans excès. Cela nous laisse le temps de regarder cette ville extraordinaire. Devant un palace, c’est à peine si je peux y croire, nous descendons de voiture. Ce n’est pas une ridicule chambre dans laquelle nous pénétrons, mon homme et moi, non, ce n’est rien de moins qu’une immense suite avec deux immenses chambres. Derrière nous, devant nos mines éberluées, Christian et Mariko éclatent de rire.
    
    C’est qu’ils ont l’habitude de loger dans de pareilles suites, eux, ces enfoirés.
    
    On va se la partager à quatre. Du coup, Mariko et moi, nous décidons de nous faire belles pour nos hommes. La salle de bain, rien qu’elle, elle possède une baignoire si grande qu’une fois pleine, on y tient facilement à quatre et même un peu plus et sans se serrer. Une fois cette baignoire pleine, c’est plus fort que nous, il nous faut nos hommes. Dans le bain, tous les quatre, pour la première fois de ma courte vie, je baise à l’étranger, à des milliers de kilomètres de mon lieu de naissance. Je prends d’autant plus de plaisir que me voilà avec deux bites dans mon corps. Nota bene, tenter ces deux queues dans mon cul ou mon sexe, je ne devrais pas détester. Oups, je crois l’avoir dit à haute voix. Les voilà qui forcent mon cul d’une main pour me ...
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