1. Dimanche matin : la revanche d'Elodie


    Datte: 06/06/2022, Catégories: fh, ff, hplusag, fplusag, candaul, fdomine, vengeance, Oral fgode, fist, fdanus, fsodo, Auteur: ElodieParis, Source: Revebebe

    ... bien sûr que tu prends ton pied, grosse catin. Tu ne comprends que la défonce sauvage !
    
    Il se passa alors une chose incroyable. Le visage d’Olga, qui exprimait la souffrance et la peur, commença à montrer autre chose. Philippe s’apprêtait à intervenir, car il craignait que Olga ne soit blessée, mais il comprit qu’elle commençait à prendre son pied.
    
    Certes, il y a avait toujours des gémissements, des cris, des hurlements, mais ils n’étaient plus de douleur et de crainte, mais de jouissance. Olga se mit à enchaîner une formidable série d’orgasmes, de plus en plus violents :
    
    — Oh, Élodie, vas-y !
    
    Élodie s’en donnait à cœur joie.
    
    — Mets-la-moi bien au fond…
    
    Installé sur son fauteuil de candauliste pour le spectacle le plus hard auquel il n’avait jamais assisté, Philippe se mit à encourager Élodie :
    
    — Baise-la, ma petite Princesse. Vas-y, fais-la jouir encore et encore !
    
    Olga supplia Élodie de la prendre en levrette, après qu’elle s’était mise à quatre pattes :
    
    — Oh, Élodie, ma chérie, je suis à toi, fais de moi tout ce que tu veux !
    
    La gamine mettait des coups de hanches incroyables.
    
    — Plus fort !
    
    Comment un aussi petit corps pouvait-il être si vigoureux ?
    
    — Démonte-moi…
    
    Les sangles du gode-ceinture, parfaitement ajustées, tenaient le choc.
    
    — Défonce-moi !
    
    Élodie se déchaînait, accompagnant ses coups de boutoir d’injures, où elle traitait Olga de voleuse et de tous les noms d’oiseaux. Le corps d’Olga porterait un moment les marques ...
    ... des dents et des ongles d’Élodie. Après tout, Olga ne lui avait-elle pas marqué son cou de suçons ?
    
    L’ultime orgasme d’Olga fut d’une grande violence. Un feulement, un long cri, une longue plainte qui n’avaient pas dû manquer d’interpeller les voisins, pourtant habitués aux frasques de ce couple.
    
    Puis Olga s’effondra sur le lit, brisée par un plaisir qui avait été accompagné d’un bref instant où elle avait perdu connaissance. Olga réalisa à ce moment qu’un plaisir aussi fort pouvait tuer celui ou celle qui en était la proie.
    
    Quand elle reprit ses esprits, Olga, après cette scène de coït animal et brutal, aurait voulu un moment de tendresse. Ce qu’elle vit lui confirma que les rapports de forces dans le trio avaient radicalement changé.
    
    Élodie était assise sur les genoux de Philippe, le gode énorme entre ses petites cuisses. Elle embrassait son mari avec une douceur infinie, sa peau couverte de chair de poule, ses petits tétons comme électrisés. C’était touchant de fragilité, les émotions d’Élodie étaient à fleur de peau. La petite ne voulait qu’un tendre baiser de Philippe et ses bras pour la protéger.
    
    — C’est MON mari, petite salope !
    — Oh oui, je suis bien une petite salope et je l’assume.
    
    Élodie était bien décidée à ne pas donner la moindre chance à Olga de renverser la situation. Philippe caressait le gode monstrueux et encore chaud qui avait pris son épouse. Il lui parut tout aussi large qu’un poignet de fist. Élodie entendait bien affirmer que c’était ...
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