1. Une épouse exemplaire - Partie 1


    Datte: 05/06/2022, Catégories: fh, extracon, cocus, gymnastiqu, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, confession, candaul, Auteur: Lamiche31, Source: Revebebe

    ... canapé de récupération et c’est tout. On baisait partout, je me couchais sur la table de la cuisine, les fesses sur le bord, les jambes repliées et écartées Jean-François se mettait assis sur un tabouret et dégustait ma chatte, je coulais comme une fontaine, sa langue partait du clito et descendait parfois jusqu’à ma petite étoile qui n’avait jamais été léchée. Souvent pendant le repas, je me glissais sous la table, le pantalon et le slip se retrouvaient sur les chevilles et, en guise de dessert, je dégustais sa bite. J’adorais aspirer le gland dans la bouche et agacer le prépuce du bout de la langue, enfoncer sa tige par de lents allers-retours, puis lorsqu’il était au bord de la jouissance, je sortais rapidement, faisais sauter ma culotte et m’empalais sur sa verge, face à lui, mes bras autour de son cou en rythmant ma cadence. Au lit, notre « bonne nuit, mon amour » était toujours un coït, ça nous semblait naturel d’avoir nos sexes l’un dans l’autre. Pendant mes règles, je le suçais et il me caressait, parfois je lui donnais mes fesses, mais je n’étais pas une adepte inconditionnelle de la sodomie, j’aimais bien me dire « Jean-François est en train de m’enculer », c’était plus le terme vulgaire qui m’excitait que le fait d’avoir sa bite dans le cul. Ce n’était pas mon chéri qui avait eu l’honneur d’étrenner mon cul, mais seuls deux amants avant lui avaient eu ce privilège.
    
    Notre vie ensemble renforçait notre amour, on s’embrassait sans arrêt, dès qu’on montait en ...
    ... voiture, avant d’en redescendre, on marchait doigts croisés, bref un jeune couple fusionnel et très amoureux.
    
    Le paradoxe était que Jean-François me disait qu’il m’aimait tellement et avait une telle confiance en notre amour que je pouvais avoir des relations sexuelles avec d’autres hommes, je n’étais ni son objet ni sa chose, nous n’avions qu’une vie, sa seule condition était de ne pas passer pour le cocu de service aux yeux de ces éventuels amants. Il m’a rappelé qu’au début de notre relation physique on avait chacun notre vie avec notre partenaire régulier et pourtant on était déjà amoureux l’un de l’autre. Mais j’étais tellement amoureuse de mon chéri et satisfaite sexuellement que je ne me voyais pas faire l’amour ou même baiser avec un autre.
    
    Je suis tombée enceinte, nous nous sommes mariés et il a mis ses propositions en sommeil. Les années avançaient, un deuxième enfant est né, notre amour était toujours aussi fort, nos relations sexuelles n’avaient pas baissé ni en fréquence ni en intensité. Pour son travail, Jean-François s’absentait plusieurs jours par semaine, j’avais arrêté de travailler pour m’occuper de nos enfants et être avec lui lorsqu’il avait des journées de libres, l’aîné était à l’école, on faisait l’amour pendant la sieste de la seconde, lorsqu’il était absent, je me caressais en pensant à lui, j’ignore s’il faisait la même chose le soir dans sa chambre d’hôtel ou s’il avait des aventures, je ne lui posais pas la question, lorsqu’il rentrait son appétit ...
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