La bourgeoise et le marabout (68)
Datte: 05/06/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: hélène75, Source: Xstory
... Mattéo pour lui offrir mes lèvres à baiser. Je lui donne ma langue pour jouer avec la sienne. Puis je lui dis :
— Mes lèvres sont-elles aussi chaudes que celles de Sophia Loren ?
Puis, m’écartant un peu de lui, je défais lentement les boutons de mon chemisier et je retire avec lenteur le léger vêtement qui dissimule mes seins libres de tout soutien-gorge. Je prends ses deux mains et les pose sur mes deux globes. Il me caresse délicatement puis se penche pour me mordiller les tétons. Je lui demande :
— Sont-ils aussi beaux que ceux de Gina Lollobridgida ?
Maintenant, je lui tourne le dos et je fais glisser ma jupe jusqu’à mes pieds. Sans que j’aie besoin de le guider, Mattéo me caresse les fesses puis me les embrasse. Tout en lui tournant le dos, je lui parle :
— Ma croupe est-elle aussi douce que celle de Claudia Cardinale ?
D’un mouvement brusque, je me retourne et l’italien a maintenant le visage à la hauteur de mon pubis. Je plaque mes deux mains derrière sa tête et l’attire tout contre moi. C’est tout naturellement que sa bouche se colle à ma chatte et, quelques secondes plus tard, sa langue se glisse en moi. Je me cambre en arrière et j’écarte un peu plus les jambes pour qu’il me fouille un peu plus profond. Entre deux gémissements, je lui dis :
— Suis-je aussi sexy qu’une star italienne ?
Il a certainement compris, car il me répond en italien :
— Si signora ! Supersexy !
Je m’arrache à son baiser intime et je lui tourne le dos. Les mains ...
... bien calées sur son bureau et les fesses tendues vers l’arrière, je lui lance :
— Moi, j’aimerais savoir si tu es aussi doué que Rocco Siffredi ?
Je ne sais pas s’il a compris tous les mots de ma phrase, mais je sais qu’il en a compris le sens général, car bien vite, je sens ses deux mains se souder à mes hanches et son gland coulisser entre mes fesses pour accéder à ma fente déjà bien lubrifiée de sa salive.
Pendant cinq minutes, il me défonce à grands coups de queue tout en me mordillant la nuque et le cou. Je l’encourage par de longs gémissements et cela semble produire son effet, car j’ai l’impression que sa queue double de volume et s’allonge. Je suis aux anges et j’accompagne ses mouvements de bite vers l’avant par des mouvements de cul vers l’arrière. Ses bourses cognent contre mes fesses tandis que son gland heurte le fond de mes entrailles. Soudain, il se retire et de longs jets de foutre se répandent dans le creux de mes reins avant de dégouliner dans mon sillon fessier puis à l’intérieur de mes cuisses.
Cinq minutes plus tard, bien essuyée, je suis de retour au camion où Philippe m’attend. En voyant le gros panier rempli de spécialités italiennes, Philippe me demande :
— Vous avez fait quelques achats souvenirs ?
Je lui lance un grand sourire et, une fois installée sur mon siège, je lui réponds :
— Non, je lui ai offert une spécialité française et il m’a offert en retour ce panier garni !
A peine suis-je attachée que mon chauffeur reprend la ...