1. Un visiteur noctambule


    Datte: 18/08/2018, Catégories: fh, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Pedenn, Source: Revebebe

    ... reflet de cette femme allongée, nue, qui écartait les jambes, qui s’offrait au désir de son amant, et rien ne pourrait empêcher Simon de jouir de ce corps magnifique, de cette taille fine, de ces seins pleins, arrogants, qui défiaient sa libido… Sur le lit transformé en scène de spectacle, Simon laissait ses doigts baguenauder sur le corps qu’il allait aimer, pour encore et encore savourer la douceur de sa peau. Ses mains se complaisaient à la ferme élasticité des seins, à l’arrogance des tétons, les châtiant par de doux pincements, de très doux frôlements.
    
    Aude, confiante en la délicatesse de Simon, ne s’attendait pas à être montée et pénétrée bestialement, sauvagement, mais fut néanmoins surprise par ces caresses, douces, jouissives, presque amoureuses. Elle ouvrit tout grand ferma les yeux pour manifester son total accord avec cette prise de son corps, pour lui signifier son désir, qu’elle la désirait car, cette nuit, elle allait aimer Simon, et n’aurait voulu du corps d’aucun autre homme. Quand la main de l’homme descendit lentement de ses seins vers son ventre, s’attarda autour du nombril, qu’elle chatouilla, et qu’un doigt chercha délicatement, puis trouva, son clitoris, gorgé de sang par les caresses de Simon, elle ne put retenir un petit gémissement.
    
    Simon voulait voir le plaisir dans le regard d’Aude et gardait ses yeux bien ouverts, mais la crispation de la main de sa maîtresse dans la sienne, accompagnée d’un petit cri, le surprit. Les yeux d’Aude étaient ...
    ... tournés vers le miroir. Il crut d’abord qu’elle voulait lui montrer le spectacle de leurs deux corps enlacés, mais en suivant son regard, il tourna les yeux, et vit l’homme cagoulé qui regardait leur accouplement avec des yeux rendus hagards par l’excitation.
    
    Simon réfléchit… L’intrus semblait se contenter de mater… De plus, étant instructeur de krav maga et de karaté, il ne craignait personne, armé ou pas. Alors, il murmura à l’oreille d’Aude « Ne crains rien, je gère, laisse-moi faire, laisse-toi aller et jouis tranquillement. » Il se remit à jouer avec le clitoris d’Aude, à le caresser, à le stimuler avec délicatesse, jusqu’à ce que le corps d’Aude se cabre brutalement, et qu’elle jouisse dans un feulement de tigresse en rut, sans pouvoir s’empêcher de regarder vers le miroir, vers leur mateur.
    
    Comme si ce spectacle ne suffisait pas à son trouble, Brice entendit la femme crier, de sa belle voix, son plaisir à l’inconnu allongé à côté d’elle. Mais sans qu’il s’en rendît compte, son sexe, comme indépendant de son égarement, était gonflé, durement gonflé même… Mais l’orgasme dont il avait été le spectateur et l’auditeur avait fouetté le désir de Brice ; maintenant, il lui fallait jouir à son tour… Puisqu’il lui était impossible de posséder ce corps qu’elle ne lui offrait pas, et qui serait bien protégé par le guerrier nu, il ne lui restait donc que le recours à la Veuve Poignet…
    
    Il commençait à descendre la tirette de son pantalon pour libérer son braquemart tendu à ...