Ma mère, d'actrice X à ma femme (2) - Histoires de Sexe

Ma mère, d'actrice X à ma femme (2)

... de Monique, de sentir son corps contre le mien.

Je m’écartais de son corps chaud, prenais ses épaules, la regardai dans ses yeux et lui prononçai ces mots :

— Maman, je...

— - Non Antoine, ne dis rien s’il te plaît, mange. On va passer la journée ensemble, se détendre et prendre du temps pour nous deux. Maintenant, finis ta pizza, qu’on puisse y aller.

— - Mais on va où maman ? Et tu n’as pas mangé ?

— « Tu verras, arrête de poser un tas de questions sinon j’annule tout !

s’énerva ma mère.

Je crois que j’en avais un peu trop fait, je me décidais donc de finir ma pizza. Elle n’avait pas aussi bon goût que d’habitude. Je ne sais pas si c’est à cause de ce que je viens de me dire Monique, mais les saveurs étaient beaucoup plus fades. Néanmoins, une partie de moi gardait espoir de pouvoir renouer des liens incestueux avec ma mère ou du moins pouvoir l’admirer. Cet espoir était maintenant par l’après-midi que j’allais passer avec elle, j’espérais qu’on allait se balader au bord d’un lac, sur un petit chemin, main dans la main comme deux amoureux éternels. Mais je rêvais sûrement, ma mère n’était pas ce genre de femme, et elle n’avait sûrement pas envie de ça avec moi après ce qu’elle venait de me dire.

J’ai ...

... donc fini ma pizza et nettoyé la table. J’ai suivi ma mère jusqu’à la voiture, en silence, et nous sommes partis. Après 1h de conduite, nous sommes arrivés au bord d’un petit étang et nous nous sommes mis à marcher jusqu’au petit village à côté, main dans la main. Ma mère a voulu aller boire un verre dans un bar et nous y avons passé un bon moment, je la questionnais sur ce village, si elle le connaissait d’avant, etc. Nous avons parlé longtemps avant de prendre le chemin du retour à la voiture. Je pensais que ma mère avait décidé de rentrer, mais elle avait finalement décidé d’aller voir un film au cinéma. Ma mère voulait aller voir un film français, une comédie, je crois, je ne me souviens plus, car j’étais obnubilé par elle. Elle était simple avec ses cheveux frisés et son léger décolleté. Toute l’après-midi, je n’avais pensé qu’à elle et sa peau lisse, ses fesses lourdes et larges, sa poitrine généreuse et ses lèvres pulpeuses...

Je rêvais éveillé de ma mère. Je me demandais même si je ne devenais pas fou.

Finalement, nous sommes entrés dans la salle, quasiment vide. Nous nous sommes installés au dernier des 8 rangs de cette petite salle, seuls, avant de nous faire rejoindre par une dame d’une cinquantaine d’années.