1. Une noix !


    Datte: 04/06/2022, Catégories: fh, 2couples, couple, extraoffre, candaul, voisins, fête, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, strip, caresses, Oral pénétratio, échange, confession, libercoup, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    — On annonce de l’orage pour cette nuit. Je vais fermer le Velux que j’avais ouvert pour aérer sa chambre.
    
    C’est mon épouse, Agnès qui me parle. Il est 21 h ce dimanche d’octobre, dimanche bien ensoleillé. On vient de finir de dîner. On n’est rien que tous les deux, notre jeune fils est en vacances chez mes parents. C’est dans sa chambre, au deuxième étage, qu’est le Velux dont elle parle.
    
    Mais quelques minutes plus tard :
    
    — Mamour, tu peux monter ? Je n’arrive pas à le fermer.
    
    Je monte. En effet il ne se ferme pas, pourtant on entend le moteur. Ce n’est donc pas la pile de la télécommande.
    
    — Attends, je vais regarder. Quelque chose doit le bloquer. Je vais prendre l’escabeau.
    — Je reste alors. Je n’aime pas quand tu montes là-dessus.
    
    Mon épouse a toujours peur. Pourtant c’est un escabeau de bibliothèque, en bois avec deux rampes et une haute protection en haut qui vous sécurise parfaitement. Par contre, il est lourd et peu maniable. Heureusement il est stocké dans l’autre pièce, une chambre sobrement aménagée, car rarement occupée.
    
    — Fais attention !
    
    Je gravis les quelques marches qui me permettent de passer la tête et découvrir :
    
    — Une noix. Probablement une pie qui l’a laissée tomber en essayant de la casser.
    
    Je débloque le système.
    
    — Essaie pour voir.
    
    Il fonctionne, mais comme je remarque la vue que l’on a de là-haut :
    
    — Ouvre-le en grand, s’il te plaît. Je n’avais jamais remarqué que d’ici on voyait si bien la maison des voisins ...
    ... et leur véranda.
    
    Nous habitons en banlieue, banlieue de pavillons. Du côté où je suis, notre pignon est aveugle, car trop proche du terrain voisin. Seules les deux fenêtres de toit sont dirigées dans cette direction. Mais ce sont des Velux, trop haut pour être considérés comme de vraies ouvertures. Il faut, comme je le fais maintenant, utiliser un escabeau pour apercevoir la maison, mais surtout leur véranda et par le toit de verre pénétrer dans la pièce.
    
    Cette véranda est récente. Nous avons été invités pour son inauguration. Elle est grande, double la surface de leur salon, totalement ouverte sur leur jardin. Nous avons eu droit à la démonstration des stores et volets occultants automatiques qui la protège du soleil.
    
    Mais je comprends maintenant que ce n’est pas que du soleil qu’ils se protègent. Ce soir ils sont fermés, mais heureusement pas ceux du toit et c’est grâce à cela que je peux les voir.
    
    Ils ne sont pas seuls, un homme est avec eux. Mais ce n’est pas la présence de cet homme qui m’étonne, c’est plutôt l’attitude de Louis. Il est confortablement installé dans un fauteuil alors que sa femme et l’homme dansent à quelques pas devant lui. Enfin quand je dis qu’ils dansent, je devrais dire qu’ils se frottent, pire qu’ils s’embrassent, que le chemisier de Nadia est ouvert, que les mains de l’homme se promènent sur le corps de sa cavalière et qu’elle, même si les deux corps serrés l’un contre l’autre ne laissent pas voir, oui, qu’elle a glissé une main entre ...
«1234...17»