1. Une voisine délicieuse (8)


    Datte: 04/06/2022, Catégories: Hétéro Auteur: shadowman, Source: Xstory

    ... ma main retourne à son minou et vient lui pincer le clitoris. Elle crie son plaisir.
    
    Je le pince, le fais rouler entre mes doigts. Je le lâche et viens la pénétrer de deux doigts pendant que mon pouce caresse son bouton de plaisir. Elle crie son plaisir, crie sa jouissance.
    
    Une fois remise de ses émotions, elle se penche de nouveau vers moi, son bras avance vers ma tige, mais au lieu de la prendre en main, elle bifurque vers le réglage du siège et le recul. Je me retrouve très loin de mon volant d’un coup, j’ai de la place devant moi. Marine m’enfourche tel un cheval, j’aime être sa monture. Elle me prend le pénis, et vient le frotter à ses lèvres au travers de son pantalon. L’idée était bonne, malheureusement avec la couture, ça me fait plus de mal que de bien. Je lui fais savoir ce détail.
    
    — Bon bah je vais être obligée de l’enlever alors.
    
    En disant cela, Marine retourne sur son siège, le recule, et descend son pantalon. Je n’en perds pas une miette. Je n’avais pas fait attention en glissant la main tout à l’heure, elle n’a même pas de culotte ma cochonne. J’aime quand elle fait des coquineries comme ça. Je profite d’être libre de mes mouvements pour remettre mon siège en place et sortir de la voiture. Je fais le tour, fais coulisser la porte arrière de son côté, ouvre sa porte, lui prends la main, la tire délicatement pour qu’elle sorte et l’emmène s’allonger sur la banquette arrière. Ses jambes pendent par la porte. Je les prends par les chevilles, lui ...
    ... écarte, et viens fourrer ma langue en elle. J’aime la goûter, j’aime qu’elle m’inonde de son plaisir comme elle le fait actuellement.
    
    Je la fouille de ma langue, viens glisser deux doigts juste en dessous de mon menton, et joue avec son clitoris de l’autre main. Que de plaisir de lui en donner ! Je ne tiens plus de voir son abricot en gros plan comme ça, il faut que j’aille m’y mettre au chaud. Je me redresse, ouvre complètement mon pantalon, tire légèrement Marine par les cuisses pour la rapprocher du bord du siège, puis viens placer mon pénis à son entrée principale.
    
    Je m’engouffre dedans rapidement, et reste là au fond, sans bouger. Je me penche et l’embrasse amoureusement. Notre baiser est long, doux, délicieux. Je commence à faire des va-et-vient doucement, puis accélère la cadence petit à petit. Je me redresse, pour pouvoir y aller rapidement, je la pilonne comme jamais je ne lui ai fait. Elle crie son plaisir, j’espère qu’il n’y a pas de randonneurs dans les parages. Je continue de la prendre avec force pendant un bon temps, mais je fatigue, je commence à me faire vieux dis donc.
    
    Je ralentis la cadence, reviens me coucher sur Marine et l’embrasse en même temps. Nos lèvres sont collées, nos langues joueuses. Elle me pousse légèrement, nos lèvres se décollent.
    
    — Tu fatigues, prends-moi les fesses en levrette s’il te plaît.
    
    Je ne me fais pas prier, je me redresse et lui tends la main pour l’aider à se lever. Marine la prend, je la tire pour l’aider. Nous sommes ...