1. Ma partenaire de travail étudiant (1)


    Datte: 04/06/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Plumedouce, Source: Xstory

    ... souffle d’excitation, qu’elle aussi.
    
    Elle était toujours sur moi, nous étions tous les deux nus. Son vagin était tellement proche de ma verge que j’avais l’impression que d’un coup de bassin, je rentrais en elle. Après de nouveaux baisers débordants d’excitation et de désir, quelques va-et-vient avec sa main le long de mon sexe, et quelques caresses de mes doigts sur ton clitoris, elle me demanda si je ne voulais pas enfiler une capote... Comment aurais-je pu refuser ? Je n’attendais que ça ! Je me redressai sur le lit pour attraper un préservatif pendant qu’elle m’embrassait le dos tout en saisissant d’une main ferme mon sexe toujours aussi dur, l’excitation était telle que j’ai du mal à ouvrir l’emballage, mais quand j’y parvins, je ressentis une certaine satisfaction rapidement remplacée par une nouvelle montée de désir.
    
    Pendant que j’enfilais la capote, je me retournai vers toi et recommençais à la caresser. Une fois le préservatif enfilé, je posai ma main sur un de ses seins pour à nouveau le caresser.
    
    Voilà le moment que nous attendions tous les deux avec impatience est venu... Elle me fit comprendre que je devais m’allonger sur le dos puis m’enjamba à nouveau. A travers son regard, je sentais qu’elle me désirait autant que je la désirai... Une sensation tellement agréable que je n’avais plus ressentie depuis plusieurs mois alors...
    
    Elle saisit de nouveau fermement mon sexe recouvert par la capote, puis, lentement, le fit glisser en elle. Elle commença à ...
    ... faire des mouvements avec ses hanches, à me chevaucher. Ses râles de plaisir se muaient en gémissements qu’elle ne parvenait à contenir. L’espace d’un instant, je regrettai d’être dans l’obscurité, ne pouvait voir ses formes, ses seins, son regard et son visage. Mais ce regret fut rapidement gommé par la chaleur envahissant le bas de mon ventre et ma verge, enlacée par les parois chaudes et humides de son vagin.
    
    Nous étions au comble de l’excitation, à son apogée, à son explosion. La voir s’agiter comme ça au-dessus de moi, voir son corps nu m’excitait tellement. Je l’entendis respirer fort, lâcher des soupirs de plaisir... C’était l’extase... J’attrapai alors ses fesses puis remontai mes hanches d’un coup pour que mon sexe la pénètre brutalement vagin. Elle lâcha un cri de jouissance qui la crispa, la faute à Simon qui ronflait toujours dans le salon.
    
    Elle te tenait courbée au-dessus de moi, elle parvint à jouir dans un soupir qu’elle glissa dans le creux de mon oreille, ce qui me fit frissonner. Je l’embrassai dans le cou. Nos respirations étaient fortes et rapides, elle poussait de petits cris de plaisir, je me sentais partir, je me sentais transporté par ses râles de jouissance, je sentais le plaisir me submerger. Puis, je la laissai se redresser sur moi pour recommencer à me chevaucher de manière sensuelle et excitante... Je recommençai à caresser ses magnifiques seins... Entre deux cris et soupirs, elle me dit à quel point elle adorait, avant de me que j’étaisgénial. ...
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