1. La magie des glory holes


    Datte: 02/06/2022, Catégories: hh, inconnu, sauna, Oral init, Auteur: Voilier9, Source: Revebebe

    ... à cet incident, mes idées se remettent enfin en place : si les mecs ne m’attirent pas, l’idée de m’occuper de leur queue m’excite parfois au plus haut point ! Mais de l’idée aux actes, il y a un monde que je n’ai pas encore osé franchir.
    
    Je reprends ma déambulation dans le club. Quelques nouveaux visages, mais aucun homme ni aucune femme qui m’excite et me donne envie de l’aborder. Je me dirige alors vers lablack room. Peut-être qu’à la faveur du noir… J’avance à tâtons. Un frottement à ma droite, une respiration… puis une main qui heurte mon bras avant de s’y poser. Je sursaute, prends peur et retourne me réfugier dans les couloirs faiblement éclairés. Je me maudis, mais une forme de fatalité s’abat sur moi : je vais encore rentrer bredouille. À moins que…
    
    Je me dirige vers la petite pièce close percée deglory holes. Je me poste à quelques mètres, j’hésite. Un homme passe en me détaillant. Je baisse les yeux. Un autre passe sans me prêter attention. Enfin, je suis seul. Alors je me précipite vers la pièce, referme la porte et la verrouille en cherchant à rester le plus discret possible. Pourquoi ce luxe de précautions ?
    
    Je suis dans un réduit sombre, à peine plus grand qu’un placard, à peine éclairé par la lumière du couloir contigu qui traverse une plaque de plexiglas dépolie sur laquelle deux ouvertures d’une circonférence d’une vingtaine de centimètres ont été pratiquées à hauteur de ceinture. En vis-à-vis et à la même hauteur, une sorte de passe-plat donne sur ...
    ... lablack room. Je n’ai pas été aussi discret que cela, car je ne tarde pas à distinguer l’ombre d’une serviette blanche de l’autre côté du passe-plat. Les pans de la serviette s’écartent, je distingue à peine, mais je sais que le moment est arrivé.
    
    Je m’agenouille sur le sol dur, et tends la main vers cette masse jusqu’à ce que mes doigts entrent en contact avec la peau douce et ferme d’une cuisse. Je remonte vers les bourses recouvertes d’un fin duvet de poils, puis vers la verge que je prends délicatement au creux de ma paume. Ma première bite. Autant que je peux en juger du fait de la pénombre (j’en suis réduit à utiliser les autres sens que me vue), elle me paraît plutôt grosse. Chaude et douce, déjà à moitié bandée, je la caresse quelques instants avant d’y approcher la bouche. Je la parcours un instant du bout des lèvres puis je l’engouffre.
    
    C’est ce dont j’avais envie : une queue dans ma bouche, que j’emprisonne entre mes lèvres en faisant attention de ne pas la toucher avec les dents, une queue dont je lèche le gland et le frein avec la langue, que j’essaie de maintenir lubrifiée de salive pour pouvoir la faire coulisser le plus loin possible, jusqu’à la sentir heurter le fond de ma gorge, une queue le long de laquelle je vais et je viens lentement avant d’accélérer la cadence. Elle est rapidement devenue toute dure. Je ne fais attention ni à son goût ni à son odeur. Dans un hammam où presque tout le monde passe à la douche, il n’y a plus d’odeurs fortes, parfois ...
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