Johan (1)
Datte: 01/06/2022,
Catégories:
Gay
Auteur: CamilleX, Source: Xstory
Tout commença par un rêve.
Ce même rêve, entêtant, qui revenait encore et encore. Ce rêve qui m’avait assailli, s’était imposé à moi, à mes convictions, il y a quelques semaines, et depuis, ne cessait de revenir bousculer les fondations, ronger mes défenses jusqu’à les faire tomber, inexorablement.
Johan en était l’image principale. Johan, c’est le père de mon meilleur ami, que je connais depuis que je suis gosse. Quinquagénaire des plus charismatiques, Johan vit encore dans le village qui m’a vu grandir. Dans ce rêve, toujours identique en tous points, je me retrouve dans une grande pièce sombre. Comme une grande salle de sport, un terrain de basket, ou bien un vieux hangar désaffecté. La pénombre règne. Un brouillard léger, vert sombre, semble napper la pièce entière. Étrangement, l’ensemble est très apaisant, aucune angoisse ne se dégage de ce décor de film de série B. Johan est là, en face de moi, quoiqu’un peu sur ma droite, grand, puissant, altier. Du haut de son mètre 90, et de sa carrure virile et carrée, musclé comme un garde du corps, il me dévisage avec beaucoup de tendresse.
Il ne porte pour habit qu’un t-shirt bleu marine, moulant sans vulgarité son buste bombé, sculpté avec un art du détail affolant, ses pectoraux gonflés, ses épaules bien charpentées, et un boxer, petit, ridiculement petit, qui peine à contenir son gros paquet. Un paquet, oui. Son appareil génital y apparaît comme un paquet, une grosse boule, qui aimante le regard, mon regard, et ...
... attire irraisonnablement le toucher...
Le toucher de mes doigts...
Et moi, là devant lui, minuscule, impressionné, je masse son entrejambe. Et j’y prends un plaisir insondable. Je caresse exclusivement ses bourses, lourdes, pleines, débordantes d’un nectar que j’imagine épais et parfumé. Blanc, profondément blanc, gluant... oui, gluant...
De mes ongles naissants, j’alterne caresses appuyées et gratouilles sensuelles. Par caresses, il faut en fait y voir une main avide, des doigts bien accrochés à ses bourses, en train de les malaxer, les palper, avec une envie frémissante. Lui reste immobile, mais apprécie énormément cela. Moi de même d’ailleurs. Je suis à la fois pétrifié et hypnotisé par cette situation qui m’excite énormément. Sentir ses énormes couilles rouler dans la paume de ma main droite me fait vriller. Situation rendue encore plus excitante que Johan sourit et gémit. Des gémissements virils, bruts, rauques, signes d’encouragement. Et j’adore ça. J’adore tenir ses bourses et sentir que je procure du plaisir à cet homme si beau, élégant et fort.
C’est en général après quelques trop courtes minutes de massage que, sans comprendre comment - mais souvenez-vous qu’il s’agit d’un rêve -, la couture de son boxer craque, libérant ses bourses. Seulement ses bourses. Qui m’apparaissent alors encore plus massives, royalement bombées, la peau épaisse contenant fièrement toute sa masculinité. Le contact avec son scrotum qui le fait frissonner de bonheur, surtout quand mes ...