1. La djellaba blanche (1)


    Datte: 31/05/2022, Catégories: Gay Auteur: nicolas682021, Source: Xstory

    ... dans les règles de l’art, alternant fellations et pompages masturbatoires, ralentissant le rythme quand il sentait qu’il le fallait, réaugmentant ensuite la pression jusqu’au seuil de la jouissance, et ainsi de suite jusqu’à l’explosion finale qu’il me demanda de diriger sur son visage et dans sa bouche.
    
    Après plusieurs minutes de détente silencieuse, nus, côte à côte sur le lit, sa tête reposant sur mon épaule, sa main caressant mon sexe exténué et mes poils pubiens. Je ne me lassais pas de le regarder, nu, absolument désinhibé.
    
    — Le moment n’est-il pas venu de prendre une douche à deux, me dit alors Bilal, de son œil toujours malicieux.
    
    Exactement ce dont j’avais envie. Deux nouveaux fantasmes m’animaient à présent : me faire savonner sous la douche par ses mains expertes, puis - avec l’eau dégoulinant sur nos deux corps - m’agenouiller devant lui pour lui faire une fellation et l’amener à éjaculer.
    
    Sous l’eau tiède de la douche, les jambes légèrement écartées, les bras tendus vers le haut, je lui ai donc demandé de me frotter. Et de me savonner abondamment...
    
    Recto verso...
    
    Je jouissais pleinement du plaisir de sentir ses grandes mains fines s’attarder à nouveau sur tous les endroits sensibles de mon corps. Comme c’est bon de se laisser palper, les couilles et l’entrejambe sous l’eau tiède de la douche ! Comme c’est bon de se laisser savonner, sous l’eau ruisselante, le dos, les hanches, les fesses et l’intérieur de celles-ci ! Comme c’est bon de se ...
    ... laisser prendre le sexe en mains par un autre homme et de le sentir gonfler entre ses doigts ! Puis, comme je l’avais fantasmé, je me suis agenouillé devant Bilal pour m’occuper de son sexe et de ses bourses encore dures et bien pleines. Sans surprise, il se laissa faire sans sourciller, prenant ma tête entre ses mains et appuyant de manière douce, mais continue, pour maintenir la pression.
    
    Lécher lentement sa verge, le frein, le pourtour du gland, puis le gland lui-même, voir gonfler à vue d’œil la grande veine qui irriguait tout l’avant de sa verge, tout cela sous le jet d’eau tiède de la douche, me procurait une sensation intense.
    
    Mes petits coups de langue de plus en plus rapides, et appuyés, à la base de son gland, et la prise en main de ses couilles, tout en caressant l’intérieur de son périnée avec le majeur de la main droite, ne firent pas attendre longtemps le moment d’une éjaculation somptueuse, accompagnée de multiples gémissements de contentement.
    
    Cette fois épuisés l’un et l’autre, nous repartons vers le lit, ne tardant pas à nous endormir, persuadés que, plus tard dans la nuit, nos désirs reprendraient le dessus.
    
    Mais lorsque je me suis réveillé quelques heures plus tard, il faisait déjà clair. Bilal n’était plus là. Il avait laissé un petit mot sur la table de nuit.
    
    — Merci Benoît, c’était trop bon. En restant plus longtemps, j’aurais cassé la magie du moment que nous venons de vivre. C’est rare d’atteindre une telle intensité dans la fusion charnelle ...
«1...3456»