Gwendoline et son voisin Franck (7) - Histoires de Sexe

Gwendoline et son voisin Franck (7)

... alors un joli soutien-gorge en dentelle assorti à ma petite culotte. Je m’agenouille devant Eric et je déboutonne son pantalon pour le faire descendre le long de ses jambes. Descendant son boxer, je découvre un gros et beau sexe, bien tendu. J’ai approché ma bouche de ce dernier qui commençait à se dresser. Après quelques coups de langue bien placés sur son gland, je l’ai embouché pour son plus grand plaisir. En quelques allers-retours, mes lèvres produisirent un effet dévastateur. Je le suce avec un rythme parfait, ni trop lent pour s’ennuyer, ni trop rapide pour avoir l’impression d’être dans un film. De temps à autre, je plante mes yeux dans ceux de Eric puis retourne à ma tâche.

Lui prenant une main, je la guide jusqu’à mon sein droit. Il a compris et ce sont bientôt ses deux mains qui, me brutalisant un peu,  ne tardent pas à faire tomber mon soutien-gorge ... Je me relève et dégrafe ma jupe, qui tombe à mes pieds, dévoilant ma petite culotte et mes bas autofixants. Je reprends l’initiative penchée en avant. Eric est bien monté, car je dois reconnaître que son sexe dépasse au moins les 22 centimètres, bien gros, avec un gros gland, bien au garde à vous !

Après quelques minutes de ce traitement, je sens qu’il va jouir, mais je continue, l’amenant jusqu’à une violente éjaculation au fond de ma bouche, si puissante que je ne peux pas tout avaler et que des projections qui m’échappent me couvrent encore le visage, autour de mes lèvres. Je m’en délecte, continuant à le ...

... sucer. Il débande à peine.

David n’en a pas manqué une seconde. Il en a même profité pour se déshabiller et alors que Eric s’éloigne un peu, David me présente à son tour son sexe sur lequel je dépose mes lèvres, avant de bientôt le gober partiellement, tellement lui aussi est bien doté, d’un sexe assez gros, mais plus court. Je commence bientôt à le branler tout en en suçant l’extrémité. Son sexe augmente encore un peu de volume avec l’attention que je lui porte. Les petits gémissements qu’il produit traduisent que ce que je fais lui procure du plaisir.

Me mettant à quatre pattes au milieu de la salle à manger, je lui présente mes fesses « affamées ». Il présente son sexe, à l’entrée de ma grotte, qu’il a découvert de ma petite culotte. Il a vite perçu ce que je veux et d’une poussée continue et ferme, il s’enfonce en moi. Bien que très excitée, mon vagin a du mal à voir passer un sexe de cette taille. N’y prêtant pas attention, me tenant par les hanches, il me pilonne bientôt de coups de reins violents. Me laissant aller à ma jouissance, au bout de quelques minutes, les cuisses écartelées, dans un râle, il éjacule en une profonde pénétration qui me fait crier un peu plus fort et alors que je m’offre le plus possible, pour « limiter la casse », son gland venant à chaque poussée me heurter la matrice. Il se retire, le foutre et la cyprine s’écoulent de mon sexe le long de mes jambes.

Nous avons repris nos esprits et je constate rapidement que Eric a repris une belle ...