Virginie et son Tonton (1) - Histoires de Sexe

Virginie et son Tonton (1)

... avait demandé s’il pouvait lui en tirer une en grand format pour la mettre dans le salon de ces parents. Il lui avait fait ce plaisir et le cadre, en format A3, décorait l’endroit souhaité. La pose était de trois quart arrière, coupée à la taille, la tête tournée vers lui avec un grand sourire, l’épreuve étant en noir et blanc l’on n’y voyait pas la blondeur de ses cheveux ni celle de ces yeux clairs qui étaient bleus. Par contre, malgré qu’elle soit en chemisier, l’on voyait bien qu’elle était menue et paraissait assez grande. En effet, elle mesurait 1,75 mètres et pesait 65 kilos.

Le chemisier étant un modèle sans manches l’on discernait la courbe d’un sein qui était petit.

Monsieur Alex dit, plus que tu ne le penses, Marc, et il lui relata les faits. Ce fut sa sœur, Solange, qui lui demanda s’il voulait bien la prendre en charge pour s’occuper de son éducation sexuelle et en faire une bonne cochonne, comme elle, en lui disant le pseudo qu’elle avait choisi. Monsieur Marc, jamais marié à50 ans, fut surpris, réfléchi et dis, après la mère la fille, pourquoi pas. Monsieur Alex et Madame Solange lui dire alors qu’il pourra la façonner comme il l’entend, tout en sachant qu’il avait baisé Madame Solange pendant cinq ans et qu’il était photographe, ...

... amateur de nus féminins.

Il fut rapidement convenu qu’elle passerait chez lui tous ses week-ends et une grande partie de ses vacances. Virginie s’orientait dans un métier d’Art et aimerait bien devenir professeur d’Art, ces notes étaient globalement bonnes, elle devait tenir sa fibre artistique de lui, qui lui avait appris très tôt le shooting et le développement argentique.

Le repas pris il leur demanda s’il pourra lui faire signer un contrat d’apprentissage sexuel, tous les deux confirmèrent qu’il avait toutes latitudes pour canaliser sa sexualité. C’est ainsi que Virginie tomba sous la coupe de son oncle. Étant vendredi soir lorsqu’il rentra chez lui elle partit avec lui en emmenant une petite valise.

Il habitait une bien belle maison, de plain-pied, nommée « Le Domaine » avec un grand jardin dans lequel se trouvait une piscine. Une des portes donnait sur un petit studio de prise de vues et un laboratoire permettant le tirage sur papier, en format A3 des prises de vues faites avec un appareil photo argentique ou numérique, réservé à son activité professionnelle elle était toujours fermée à clefs.

Elle l’avait toujours appelé Tonton Marc et vouvoyer, cela allait continuer ainsi.

Il était prévu que le lendemain matin elle signera son contrat.