1. John & Jane (9)


    Datte: 29/05/2022, Catégories: Transexuels Auteur: Kama666, Source: Xstory

    ... jeune, de la belle génisse je te dis...
    
    — Allez salope ! demi-tour que j’te saute !
    
    — Laisse-toi faire ma chérie et viens faire lichette à Germaine.
    
    Elle s’est remise sur le canapé, les fesses tout au bord, le compas des cuisses ouvert au moins à 120 degrés, elle met de l’ordre dans sa toison et dégage son sexe. Comme une chienne, je me déplace à quatre pattes. A sa portée elle me prend par les cheveux et me tire jusqu’à elle. Je ne retrouve pas son parfum capiteux, aujourd’hui sa fragrance est naturelle, une forte odeur animale. Je ferme les yeux comme pour exacerber mon sens olfactif, mon nez et mes lèvres effleurent cette broussaille. La femme en a assez de mes enfantillages, elle plaque mon nez sur son bourgeon, ma bouche sur ses lèvres.
    
    L’homme entre en piste, il est derrière moi, je le sens contre mes fesses, sa pointe est précisément sur mon petit trou, il y a contact, il me prend par les hanches, me tire à lui, son pieu est dur, ne plie pas et « floc » il est en moi
    
    — Han ! Tu l’as dit Germaine elle est souple du cul...Han ! En deux coups je te l’ai défoncée jusqu’à la garde.
    
    Bernard s’affaire dans mon fondement et moi sur le ventre de sa femme. Je la lèche, la fouille, l’aspire. Comme avant, j’ai mes coudes sur les genoux de la dame, les doigts écartent les poils et les lèvres, décalottent le bouton, plongent dans le vagin... trois doigts immédiatement, excitent le point sensible, fouettent la cyprine pour la faire mousser, elle est comme Bernard, ...
    ... c’est une ogresse :
    
    — Plus... Oui c’est mieux, plus fort ! Plus profond...
    
    En même temps un quatrième doigt la pénètre, puis toute la main est absorbée, son vagin m’avale le poignet, il forme ventouse. De son côté l’homme prend son temps, son membre est impressionnant, c’est un coureur de fond, il tient la distance.
    
    Je me laisse guider par leurs mains, sur mes hanches et dans mes cheveux. Je ressors la main couverte de jouissance et plonge la bouche entre les lèvres largement déployées. La femme gémit, puis râle c’est un :
    
    — Oui, ui, ui, ui, ui. Encore Oui, ui, ui, ui !
    
    Ma langue lèche les sucs sur les bords du vagin avant de plonger au centre jusqu’au moment où d’un coup de reins semblable à un tsunami il m’arrache de la vulve et me pousse sur le ventre de sa femme.
    
    Bernard beugle comme un taureau, mes contractions accompagnent ses éjaculations. Il se couche sur mon dos, me prend la poitrine, s’accroche à mes tétons, il se vide en moi. Je sens sa respiration bruyante sur mon dos, il est essoufflé, a du mal à retrouver une respiration normale. Germaine me caresse les cheveux comblée de mon cunnilingus. Notre trio reste un moment ainsi. Bernard se fait lourd, enfin il se relève et me quitte :
    
    — Ouffff ! Putain que c’était bon.
    
    — J’ t’avais dit Bernard que c’était un bon coup et en plus tu la verrais bien habillée c’est un joli morceau, une vraie jeune fille !
    
    La situation est incroyable dans ce salon très bourgeois, ce couple de la soixantaine baisant ...