elle m'énerve
Datte: 29/05/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: revilo1, Source: Xstory
Bonjour à vous.
Vous connaissez ma femme ? Non ? Seriez-vous un des rares hommes à ne pas l’avoir encore connue charnellement ? Vous ne savez pas ce que vous ratez.
Alors elle a 45 ans. Un cul à damner un saint et un corps très bien conservé. Ce qui va attirer votre attention, c’est sa bouche. Une bouche de suceuse de bites. Des lèvres pas trop pulpeuses mais bien dessinées, bien charnues. Et puis une fois que vous aurez regardé ses lèvres, vous remonterez le regard vers le sien et là vous êtes foutus.
Après un verre, on peut lire carrément « baises-moi » dans son regard envoûtant.
La nuit dernière, elle m’a avoué sa dernière aventure. Elle est comme cela ma femme, il faut qu’elle se balade mais elle culpabilise et ne peut s’empêcher de venir quémander mon pardon.
Mais cette fois-ci, je ne sais pas, peut-être que je deviens plus sûr de moi, plus expressif, toujours est-il que cela ne s’est pas passé comme d’habitude.
Que je vous raconte.
— Putain tu me fais chier à aller courir comme une chienne en chaleur et chercher la première bite qui se dresse pour te satisfaire.
— Je vais te baiser là, maintenant, à l’instant et tu ne vas rien refuser. Je ne sais si cela te calmera un peu mais en tout cas, cela me permettra de libérer ma colère.
Sans plus attendre, je me déshabille, intégralement. Elle, je lui arrache la culotte et lui sors les seins du soutif. C’est tout.
Pas de tendresse, pas de préliminaire. Je la jette sur le lit, sur le dos et ...
... m’avachis sur elle, lui saisis une jambe pour bien l’écarter, prends ma queue bien raide et la dirige vers sa chatte.
Le gland écarte les lèvres. Le passage est encore sec et je dois forcer pour m’enfoncer. Mais je la connais cette pute, cela ne va pas durer.
Plus pour éviter de me faire mal que de la déchirer, je fais quelques pettits allers-retours. Elle mouille déjà la salope et tout va s’ouvrir dans quelques secondes.
Voilà je m’enfonce en elle. Elle soupire de plaisir et commence même à gémir. Je ne veux pas l’entendre, du coup je lui mets un baillon.
— Tu es mon trou, mon instrument de plaisir. Je vais prendre mon pied, te lutiner plus ou moins longuement selon ma seule envie.
Je la baise. Mes mains pelotent ses seins, mes doigts pincent violemment les tétons. Mes ongles glissent et griffent ses fesses à chaque fois que je m’enfonce férocement. De rage, je la mords aussi, en évitant quand même les tétons, par prudence.
Je me redresse et la pénètre. Mes mains passent sous ses fesses et ce sont mes 10 ongles qui s’enfoncent profondément dans ses globes charnus. Mon sexe va et vient assez sauvagement.
Elle n’arrête pas de bouger. Son vagin est grand ouvert et lubrifié. Je ne capte pas son regard, je m’en fous. Je suis concentré sur ma queue qui a envie de cracher, de se répandre.
Petite pause car je sors de maladie et mon rythme cardiaque est assez élevé.
— Retournes-toi sur le ventre petite salope, écarte bien les cuisses et lève ton cul pour me ...