Ah les seins de Monique, meilleure amie de ma mère (5)
Datte: 28/05/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: mortimer60, Source: Xstory
... salle de bains, en tentant de retrouver ses attitudes.
Je décidai même d’utiliser son rouge à lèvres et de me faire les yeux. Le résultat était assez curieux... mais me faisait cependant bander comme un ours. Je commençai à me caresser lentement les seins comme elle le faisait si bien. Quelques minutes me suffirent pour arriver au bord de la jouissance, mais une voix féminine se fit entendre dans mon dos : bonjour, ma petite maman, comme tu es belle aujourd’hui ! Tu as un rendez-vous ? Avec qui ? Je parie que c’est avec Eric ! En tout cas, tu me plais beaucoup ! Je peux t’embrasser ? J’en ai tellement envie...
Je reconnus immédiatement la voix de Blandine, la fille de Monique. L’expression « avoir froid dans le dos » était largement en dessous de ma situation. J’étais glacé et tétanisé, il m’était impossible de ne rien faire ou dire. Elle ne se moquait pas, mais contemplait le spectacle d’un air admiratif. Elle reprit : j’avais bien compris qu’il se passait quelque chose avec toi. Elle te manque tant que ça ? Et en me regardant, elle ajouta : l’effet est assez réussi, mais il te manque quelque chose d’essentiel : et elle sortit d’un tiroir une perruque rousse qu’elle m’ajusta sur la tête ! Et là, le résultat était vraiment bon. Elle me glissa dans l’oreille : tu sais, moi aussi je l’aime beaucoup ma mère, je la trouve tellement belle... Je rêve d‘elle très souvent. J’aimerais tellement l’embrasser...
La situation était franchement surréaliste ! Je n’arrivais pas à ...
... comprendre qu’elle puisse être... amoureuse de sa mère ! Mais elle se rapprocha derrière moi et commença à passer ses mains sur mes épaules, puis à les descendre sur mes « seins ». Tu vois ce que j’aimerais faire avec maman ? Je voudrais la déshabiller tout doucement, découvrir son corps et d’abord... là, elle me fit face et me roula une magnifique galoche, ne s’interrompant que pour dire : oh maman, que j’aime t’embrasser, j’ai envie de te faire du bien, je t’aime, laisse-moi faire, je t’en prie...
Je commençai lentement à sentir mon cerveau se reconnecter. Après tout, la donzelle était vraiment jolie, et son discours me faisait terriblement bander. Je ne m’opposai donc pas à ses propositions ! Le baiser se poursuivit encore longtemps, sans que je sache si elle avait bien compris qu’elle était avec moi et non avec sa mère, tant son discours était étrange. Elle commença à me retirer la robe noire, tout doucement, en embrassant chaque centimètre de ma peau qui apparaissait. Finalement, il ne me resta plus que les sous-vêtements rouges ; je me trouvai assez ridicule, entre le soutif rempli de chaussettes et le slip d’où émergeait une bite en acier trempé !
Fort heureusement, Blandine était finalement bien consciente d’avoir dans ses bras un jeune mâle et non sa chère mère. La manière dont elle m’emboucha fit mon admiration... et bien plus ! Et si sa mère adorait particulièrement se faire sucer, la fille choisit rapidement de m’allonger pour me chevaucher frénétiquement, ...