Mangouste contre l'Organisation 4 - Danse macabre en Tasmanie
Datte: 28/05/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Laetitia sapho, Source: Hds
... man drove me berserk
He said captain I said wot he said captain I said wot
He said captain I said wot he said captain I said wot d'you want
He said captain I said wot he said captain I said wot
He said captain I said wot he said captain I said wot d'you want
A la fin du premier refrain, son haut et sa jupe gisaient au sol.
Changement de rythme, changement d’ambiance, Donna Sommer, Love to love you baby, Mangouste se déhancha lentement sur la scène, ses mains couraient sur son corps en mesure avec les soupirs et les feulements que poussait Donna :
I love to love you babyyyyy, aaaahhhh
I love to love you baby
Do it to me again and again
you put me in such an awful spin, in a spin
I love to love you baby
I love to love you baby
Les 9 minutes 15 du morceau furent nécessaires pour que Mangouste ôte son soutien-gorge et surtout l'occasion de poses et d'enchainement sensuels.
Porter n’en perdait pas une miette, la bouche grande ouverte. Le soutien-gorge atterrit bien entendu sur ses genoux.
Careless Whisper de George Michael débuta, Mangouste enleva ses escarpins et se dirigea vers la barre de pole dance. Au rythme de la musique, s’enroulant littéralement autour de la barre, elle enchaîna des figures de plus en plus complexes ; Marche, pirouette, fireman, crucifix, caroussel, butterfly, Dragonfly, Scorpio, Side superman, Death lay, Boken Doll, Jade, Serpentine, Pegasus. Le tout, en rythme bien sûr et avec la plus grande sensualité, ...
... toujours pour être en adéquation avec la musique choisie.
A la fin de la chanson de George Michael, elle retomba, telle une chatte sur ses pattes, sur la scène.
Avant que la chanson suivante ne débute, Mangouste descendit de la scène et monta sur la table derrière laquelle Porter était assis :
- Une chanson française pour conclure, dit-elle.
Cargo de nuit d’Axel Bauer, les accords disco-orientaux de l’intro se sont appropriés l’espace. A genoux sur la table, Mangouste se caressait l’épaule, puis descendit sa paume, d’un geste aérien et sensuel, le long de son biceps, puis de son avant-bras :
J’avance sur ce quai humide
La sueur brûle comme l'acide
L'enfer va commencer
Cargo de nuit, bières chaudes et narguilés
"Chez Mario" tout oublier, la nuit te nuit
Change de port
Mais cette machine dans ma tête
Machine sourde et tempête
Mais cette machine dans ma tête
Leitmotiv, nuits secrètes
Tatoue mon âme à mon dégoût
Quand la musique s’arrêta, Porter restait sans bouger sur sa banquette :
- Alors patron, convaincu ? Je suis embauchée ?
- Ouais … T’es embauchée. T’es vraiment une pro … Viens dans mon bureau signer ton contrat.
Une demi-heure plus tard, Mangouste chevauchait un Porter ayant du mal à reprendre son souffle, sur le canapé de son bureau. Elle accéléra le rythme :
- J’en peux plus … J’ai joui trois fois déjà … tu m’épuises, je suis vidé …, dit Porter haletant en éjaculant.
- Mais si, mais si, tu peux encore … ajouta ...